les symptômes se voient plus que dans un service au sixième étage ou que dans un cabinet de généraliste » « En réduisant le nombre de médecins, chacun d’entre nous doit forcément s’occuper de plus de patients. En avoir douze, treize, quatorze en file active, ce n’est pas l’idéal. Il y a le risque d’un moins bon suivi. » « Aujourd’hui, le problème c’est comment on passe l’été, mais surtout que fait-on pour l’avenir ? » conclut-il, inquiet de voir la charge qui pèse déjà sur les médecins juniors du service. « Auront-ils l’envie de continuer avec nous ? » Gilles Rof (Marseille, correspondant)