not to do list
Avec une not to-do list, les salariés ne risquent pas de se décourager en voyant les tâches qu’il reste à accomplir. Au contraire, c’est une motivation qui les pousse à aller de l’avant.
Optimiser le temps est l’un des principaux objectifs au sein d’une entreprise. Les employés mettent en place divers moyens pour y parvenir, en créant des to-do lists par exemple, ou bien en collant au mur des post-it colorés. Le but voulu est de visualiser en un seul coup d’œil quelles sont les tâches à effectuer. Mais cette technique peut vite s’essouffler, car les tâches ne sont jamais toutes réalisées et de nouvelles sont ajoutées en permanence. Les salariés risquent donc de se laisser dépasser par leurs to-do lists. C’est pourquoi la not to-do list est un concept qui peut complètement révolutionner l’organisation au sein d’une entreprise.
Quels sont les avantages de la not to-do list?
La not to-do list représente la liste de toutes les choses à ne pas faire. C’est une liste qui doit logiquement être bien moins encombrée que la to-do list. Elle est donc moins lourde en termes de charge mentale. Avec une not to-do list, aucun risque de perdre du temps à cause de tâches mal priorisées ou de délais de réalisation mal évalués. La not to-do list répertorie en fait tout ce qu’il ne faut pas faire si on veut vraiment gagner du temps. Avec une not to-do list, les tâches peu importantes, qui peuvent être réalisées par d’autres, ne prennent plus place parmi les missions du jour. Ce type de liste permet de se concentrer sur ce qui est vraiment essentiel : c’est une véritable ligne de conduite qu’adoptent les salariés, et cette nouvelle organisation se répercute rapidement sur les résultats de l’entreprise. Par exemple, si un employé perd beaucoup de temps à répondre tout le temps au téléphone, il lui suffit de marquer sur sa not to-do list: « Ne pas répondre au téléphone quand cela ne me concerne pas. » S’il se tient à sa résolution, il gagnera ensuite un temps précieux chaque jour.
Comment créer sa not to-do list?
(Par la rédaction de l’agence hREF)