La responsable de la task force fédérale vaccination, Sabine Stordeur détaille les premiers chiffres disponibles autour de la dose « de rappel ». Elle aborde aussi les différents scénarios en cas d’une éventuelle 3e dose pour toute la population.
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Publié le 27/10/2021 à 19 :09
Temps de lecture : 7 min
L’année dernière à la même époque, les Belges attendaient le vaccin contre le coronavirus comme le Graal.
Il devait être la clé pour nous permettre de revivre normalement malgré la présence du coronavirus dans nos contrées. Le variant Delta, plus résistant et surtout plus contagieux, a changé la donne. Les vaccins administrés à 8 millions de Belges les protègent mais moins que prévu, surtout les plus vulnérables.
D’où l’indispensable « troisième dose » que les experts préfèrent appeler « dose de rappel » ou « booster ».
Un peu moins de deux mois après les premières injections de ce « rappel » aux personnes immunodéprimées, Sabine Stordeur, responsable de la task force fédérale vaccination fait le point sur la situation.
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