Des coupures d’électricité cet hiver  ? « Pas de panique », rassure Emmanuel Macron


du fait du froid et de la moindre production du parc nucléaire électrique français.

« Pas de panique », a lancé le président de la république, expliquant que les Français avaient toutes les cartes en main pour éviter un tel scénario.

Des coupures d’électricité cet hiver  ? « Pas de panique », rassure Emmanuel Macron

Une hypothèse « extrême »

a-t-il indiqué. « Ça dépend de nous. »

Il a toutefois convenu que l’État devait se préparer à des « cas extrêmes » puisque « parfois, les dernières années l’ont montré, l’impensable arrive ».

Quel bilan pour la visite d’État aux États-Unis ?

Le locataire de l’Élysée a également évoqué sa visite d’État aux États-Unis, dont il a esquissé un premier bilan. Cette visite a, selon lui, « répondu aux attentes qui étaient les nôtres », notamment sur le plan économique.

Dans ce domaine, Emmanuel Macron estime avoir « mis les pieds dans le plat » au sujet des subventions à l’industrie américaine récemment décidées par Joe Biden, dans le cadre de son plan climat.

« Ces règles sont en train de nous faire beaucoup de mal », estime Emmanuel Macron, évoquant à mots couverts une concurrence déloyale. « Le niveau de subventions qu’ont décidé les Américains est très élevé et a été décidé trop rapidement ».

Le président de la République a expliqué avoir notamment demandé « des exemptions » pour que « la compétition soit juste. »

Mais, a-t-il prévenu, « il ne faut pas demander aux États-Unis de régler nos problèmes, on doit aller plus vite » sur les questions industrielles.

Sur l’Ukraine, la volonté de préparer l’après-guerre

Emmanuel Macron a par ailleurs évoqué la guerre en Ukraine, et notamment ses points d’accord avec le président américain en la matière.

« La France et les États-Unis ont la même position », a-t-il fait valoir évoquant leur volonté commune de « veiller à ce qu’il n’y ait pas d’escalade sur le nucléaire », de « continuer à aider militairement » l’Ukraine et de « préparer le dialogue pour le jour où tout le monde reviendra autour de la table ». A également été évoquée la nécessité de réfléchir à « l’architecture de sécurité dans laquelle nous voulons vivre demain ».

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