Tournefeuille. Capoeiragem soutien la ferme Currupira


L’association Capoeiragem Tournefeuille apporte son soutien à l’association Curupira dont l’objet principal est une ferme dans la Mata Atlântica (forêt atlantique au Brésil).La ferme Curupira est un lieu d’échange autour de l’écologie, de la permaculture et des valeurs humaines. L’idée de la ferme, impulsée par Afonso Alves da Silva, est née d’une remise en question de notre façon de vivre.

« En cette période où la mise en place d’initiatives favorisant la transition écologique est une urgence, explique Afonso, nous avons souhaité nous engager pour une cause qui nous tient à cœur : la préservation de la Mata Atlântica, une forêt tropicale passée totalement dans l’ombre de la forêt amazonienne et qui, pourtant, mérite tout autant d’être connue du grand public. La ferme Curupira souhaite répondre à des besoins environnementaux et promouvoir des pratiques permaculturelles fortes. « Son histoire est une aventure humaine, née de rencontres et d’opportunités, dont nous sommes heureux de vous présenter les protagonistes » .Afonso, connu dans le milieu de la capoeira comme Mestre Vida Nova, a quitté le Brésil vers 18 ans pour venir en Europe. Après un parcours riche visitant l’Espagne, la Hollande et la France, Afonso s’installe il y a plus de 20 ans à Toulouse où il créé l’association Capoeiragem. « La capoeira m’a rapproché de ma propre culture », souligne-t-il. C’est en rencontrant des Brésiliens à Amsterdam qu’il commence la capoeira, s’entraîne dur et progresse vite. À cette même époque, artiste dans l’âme, il commence la peinture.

Tournefeuille. Capoeiragem soutien la ferme Currupira

De la capoeira à l’écologie

Après ces nombreuses années passées en France à développer son travail de capoeira, former des élèves pour le seconder, Afonso peut dégager du temps pour réaliser son projet : une ferme écologique au Brésil. Ce n’est pas pour rien que la ferme porte le nom de Curupira, esprit de la forêt issu du folklore brésilien : Curupira est un génie de l’écologie ! Connu pour ses pieds qui ne vont pas dans la même direction que sa tête, afin que ses empreintes puissent semer les chasseurs et les braconniers, il protège la faune et la flore contre ceux qui abusent de la générosité de la nature.Les enseignants de l’association Capoeiragem de Tournefeuille sont des élèves du Mestre Vida Nova qui transmettent les valeurs de la capoeira et de la culture brésilienne aux enfants, adolescents et adultes et supportent le développement de l’association Currupira.

Capoeiragem soutien la ferme Currupira

L’association Capoeiragem Tournefeuille apporte son soutien à l’association Curupira dont l’objet principal est une ferme dans la Mata Atlântica (forêt atlantique au Brésil).La ferme Curupira est un lieu d’échange autour de l’écologie, de la permaculture et des valeurs humaines. L’idée de la ferme, impulsée par Afonso Alves da Silva, est née d’une remise en question de notre façon de vivre. »En cette période où la mise en place d’initiatives favorisant la transition écologique est une urgence, explique Afonso, nous avons souhaité nous engager pour une cause qui nous tient à cœur : la préservation de la Mata Atlântica, une forêt tropicale passée totalement dans l’ombre de la forêt amazonienne et qui, pourtant, mérite tout autant d’être connue du grand public. La ferme Curupira souhaite répondre à des besoins environnementaux et promouvoir des pratiques permaculturelles fortes. « Son histoire est une aventure humaine, née de rencontres et d’opportunités, dont nous sommes heureux de vous présenter les protagonistes » .Afonso, connu dans le milieu de la capoeira comme Mestre Vida Nova, a quitté le Brésil vers 18 ans pour venir en Europe. Après un parcours riche visitant l’Espagne, la Hollande et la France, Afonso s’installe il y a plus de 20 ans à Toulouse où il créé l’association Capoeiragem. « La capoeira m’a rapproché de ma propre culture », souligne-t-il. C’est en rencontrant des Brésiliens à Amsterdam qu’il commence la capoeira, s’entraîne dur et progresse vite. À cette même époque, artiste dans l’âme, il commence la peinture.

De la capoeira à l’écologie

Après ces nombreuses années passées en France à développer son travail de capoeira, former des élèves pour le seconder, Afonso peut dégager du temps pour réaliser son projet : une ferme écologique au Brésil. Ce n’est pas pour rien que la ferme porte le nom de Curupira, esprit de la forêt issu du folklore brésilien : Curupira est un génie de l’écologie ! Connu pour ses pieds qui ne vont pas dans la même direction que sa tête, afin que ses empreintes puissent semer les chasseurs et les braconniers, il protège la faune et la flore contre ceux qui abusent de la générosité de la nature.Les enseignants de l’association Capoeiragem de Tournefeuille sont des élèves du Mestre Vida Nova qui transmettent les valeurs de la capoeira et de la culture brésilienne aux enfants, adolescents et adultes et supportent le développement de l’association Currupira.