le recours à l’emprunt oppose deux adjoints


en 2022 résumait le maire Si les gens manquent d’argent, ce n’est pas à cause de la ville de Gray. On continuera ainsi, sans recours, normalement, à l’emprunt en 2023 », avait rebondi le maire.

« Pouvez-vous répondre Monsieur »

Devant des regards médusés Le risque de dégrader notre épargne est fort. »Une ligne que n’avait pas partagée Hicham Naji. Appelant à « la confiance », insistant sur le fait de ne « pas douter de nos agents » et que « les engagements avec Monsieur le maire ont été honorés », le deuxième adjoint avait mis en garde. « Je comprends les inquiétudes, elles sont légitimes et on a droit de les porter. Mais, attention à s’engager, alors que les taux d’emprunt atteignent 4 %… »

le recours à l’emprunt oppose deux adjoints

Ce vœu d’union venu de l’opposition

depuis 2020 issus des deux candidats vaincus en 2020 (Jean-Baptiste Pierrot, qui a vite démissionné et Christophe Dureux) sont débonnaires. Tandis que Philippe Ghiles a regretté que « l’État ne soit pas au rendez-vous », Christophe Dureux (Renaissance) a endossé sa tenue d’arbitre clément. « On change de paradigme. À l’impossible, nul n’est tenu. Je comprends les interrogations de Monsieur Ghiles qui a mené ces projets. Peut-être qu’il faudra retarder les projets. »À Christophe Laurençot, spectateur de la scène, il ne manquait plus que les pop-corns. Car la suite était lunaire  : « Je fais confiance à cette assemblée pour qu’elle reste unie », lançait Christophe Dureux. On savait qu’il n’avait d’opposant que le nom. Et, cela pourrait faire deviner que les alliés ou concurrents d’hier, ne seront plus les mêmes demain.