Direct Montagne. Où sera-t-il possible de skier ce week-end ?


tout au long de la semaine, l’actualité liée à nos montagnes.

certaines stations ont d’ores et déjà repoussé leurs dates d’ouverture comme Serre-Chevalier ou encore Sainte-Foy-Tarentaise. Deux stations qui devaient ouvrir leur saison en fin de semaine. À lire  : Montagne : où pourrez-vous skier dès ce week-end ? 

Direct Montagne. Où sera-t-il possible de skier ce week-end ?

Crédit Pôle Emploi

Pôle Emploi et les maires de stations s’associent pour recruter

 Afin de pourvoir aux dizaines de milliers d’emplois saisonniers en altitude pour la saison d’hiver, Pôle Emploi et l’Association nationale des maires de stations de montagne (ANMSM), qui fédère une centaine de destinations, s’associent pour stimuler les candidatures dans les principaux secteurs en tension : hôtellerie, restauration, transport, commerces, accueil petite enfance.Aussi une campagne de communication commune vient d’être lancée sur le thème “La montagne, ça vous gagne ! Et ça recrute ! ” Un slogan qui n’est pas sans rappeler le message promotionnel des années 90, remis au goût du jour et relancé à Paris mi-novembre par France Montagnes pour cette saison 2022/23. À lire  : « La montagne, ça recrute » : les maires de stations s’encordent avec Pôle Emploi 

Dans certaines stations, la proportion de passoires thermiques atteint les 90 %. Illustration Adobe Stock

50% des logements en station sont des passoires thermiques

 Selon une étude, les stations de ski françaises comptent en moyenne près de 50 % de logements classés comme des passoires thermiques dans leur parc immobilier. Mais avec des écarts importants, allant de 16 à 90 % de biens énergivores, selon les domaines skiables.En plus du manque de neige et de la hausse du coût de l’énergie, les stations de ski françaises doivent faire face à la présence, dans leur parc de logements, de nombreux biens énergivores. Ces biens en question, ce sont les fameuses passoires thermiques, soit ceux classés F ou G au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE).C’est ce que révèle une étude menée dans 70 stations de ski par la plateforme web Heero, spécialisée dans la rénovation énergétique. À lire  : Stations de ski : la moitié des logements sont des passoires thermiques !  

Des professionnels venus de différentes stations françaises et même étrangères viennent obtenir un diplôme obligatoire pour manier les explosifs./Benoît LAGNEUX

Les pisteurs viennent se former pour manier les explosifs

mais que l’Anena (Association nationale pour l’étude de la neige et des avalanches) supervise :: Déclenchement d’avalanche : quand les candidats passent leur examen… avec des explosifsÀ voir  : Aux 2 Alpes, un diplôme explosif pour les pisteurs 

Les lauréats ont été récompensés dans le cadre du Festival International des Métiers de la Montagne organisé à Chambéry.

Six nouvelles destinations ont été labellisées Flocon Vert

L’association Mountain Riders a remis le Flocon Vert à 8 destinations de montagne (dont 2 déjà labélisées

Sur certains secteurs, plusieurs types de protection cohabitent : des claies et une végétation soigneusement disposée./F.T.

Savoie : le village de Saint-Colomban-des-Villards en proie aux avalanches depuis 80 ans

 Depuis l’épisode avalancheux dramatique de 1942, l’État a pris la main pour protéger le village de Saint-Colomban-des-Villards en Savoie. De travaux en retours d’expérience, la forêt domaniale de Frumezan est un exemple.Dans la vallée encaissée du Glandon, la météo est particulière. « On peut avoir plus de deux mètres de neige à 1 100 mètres d’altitude, alors que tout près, à 1 800 mètres à La Toussuire, il n’y en aura qu’un mètre et demi », explique le maire de Saint-Colomban-des-Villards, Pierre-Yves Bonnivard. Et deux mètres de neige sur une pente abrupte, ça peut vite dévaler, surtout si, au cours des siècles, tout a été déforesté pour les besoins de l’homme. À lire  : Avalanches : depuis 80 ans, un combat permanent à Saint-Colomban-des-VillardsÀ voir  : Avalanches : dans un village en Savoie, depuis les années 40, tout un pan de montagne sous surveillance 

Pour chaque degré de réchauffement planétaire, « on s’attend à perdre un mois d’enneigement à basse et moyenne altitudes », selon les observations de Samuel Morin, directeur du Centre national de recherches météorologiques./Benoît LAGNEUX

Quel avenir pour les petites stations, menacées par le réchauffement climatique ?

 Le manque d’enneigement oblige les stations de moyenne montagne à changer de modèle économique. Le dérèglement climatique force ces territoires à accélérer le mouvement pour réorienter leur stratégique touristique. Pas si simple de se réinventer ! Alors faut-il continuer à investir dans le ski en dessous de 2 000 mètres d’altitude ? La question ne tombe plus comme un cheveu sur la soupe : la station du futur, vous la voyez comment ? À son poste, Nathalie Faure, vice-présidente du Département déléguée à la montagne, y réfléchit tous les jours, ou presque. Convaincue que la réponse se joue maintenant. « On est à un virage, dit-elle, et c’est le rôle du Département d’aider les stations à le prendre. » À lire  : Réchauffement climatique : à quoi faut-il s’attendre pour les petites stations ?: Faut-il continuer à investir dans le ski dans les stations de moyenne montagne ? On ouvre le débat ! Pour voter  : Faut-il continuer à investir dans le ski dans les stations de moyenne montagne ? Votez et dites-nous pourquoi en commentaire 

Christian Morin, conseiller départemental et maire de Saint-Jean-en-Royans, et Franck Soulignac, vice-président de la Drôme à l’attractivité, ont répondu aux questions d’une cinquante de personnes sur le projet global des Sublimes routes du Vercors./Jérémy PERRAUD

Vercors : une crainte d’une surfréquentation touristique

 Après la manifestation contre le projet de Tony Parker à Villard-de-Lans, au tour de celui des Sublimes routes du massif drômois de ne pas faire l’unanimité.L’idée du Département est la suivante : aménager différents sites d’exception pour y drainer les touristes. « L’objectif n’est pas d’accueillir plus, mais mieux », précise le vice-président de la Drôme Franck Soulignac à la cinquantaine de personnes qui lui font face. À lire  : Tourisme : surfréquentation redoutée dans le Vercors 

Deux télésièges et un téléski doivent remplacer quatre appareils vétustes.

Les travaux du domaine skiable de Rochebrune sont à l’arrêt à Megève

 Deux recours sont lancés contre la modernisation des remontées mécaniques. Le projet de restructuration du domaine skiable attend des décisions de justice suite à la requête de “France Nature Environnement Haute-Savoie” (FNE 74) et de “Biodiversité sous nos pieds”.La requête date du 25 octobre dernier. Les deux associations de défense de l’environnement demandaient la suspension des travaux sur le domaine de Rochebrune devant le tribunal administratif de Grenoble. À lire  : Megève : les travaux du domaine skiable de Rochebrune à l’arrêt 

Le plaisir de rechausser les skis entre amis, après la saison dernière perturbée par la Covid./G.S.

Près de 15 000 skieurs ont profité du premier weekend de ski à Val Thorens

 Celle qui a été élue tout récemment meilleure station d’Europe et de France, fêtait en grande pompe, l’ouverture de son domaine skiable, lançant ainsi la saison de ski en France.Et les passionnés de glisse ont répondu présents puisqu’ils étaient près de 9000, ce samedi 26 novembre, à avoir fait le déplacement pour profiter des 23 pistes et 15 remontées mécaniques ouvertes, et des deux sommets à 3 000 mètres d’altitude. À lire  : Val Thorens :: 12 acteurs de la station nous racontent « leur Val Tho »À voir  : Savoie : Val Thorens accueille ses premiers skieurs en imagesÀ voir aussi  : Savoie : premières doses de ski à Val Thorens pour 15 000 chanceux en vidéo 

La commission de sécurité des domaines skiables l’Alpe d’Huez et Oz-Vaujany s’est réunie avant le lancement de la saison d’hiver.

Des stations iséroises sont prêtes pour la préouverture du 3 décembre

 La station Oz 3 300 ouvrira samedi 3 et dimanche 4 décembre uniquement pour le week-end, avant l’ouverture sans interruption du domaine skiable du 10 décembre au 23 avril.Comme chaque année, la commission de sécurité des domaines skiables l’Alpe d’Huez et Oz-Vaujany s’est réunie avant le lancement de la saison d’hiver.La commission s’est déroulée en présence du 93e Régiment d’artillerie de montagne, du PGHM, de la gendarmerie de Bourg-d’Oisans et de La Mure, des pompiers, des sociétés d’exploitation (SATA pour l’Alpe d’Huez, SPL pour Oz-Vaujany) et des maires et adjoints des stations concernées.La commission a présenté les comportements à adopter selon le niveau de fréquentation de la station, le bilan des économies d’énergie et le calendrier des événements de cet hiver. La prochaine commission de sécurité se tiendra le 3 janvier à l’Alpe d’Huez.

Le massif du Chenaillet culmine à 2 500 mètres environ, sur les hauteurs de Montgenèvre. Là-haut, les géologues ont découvert dans les années 1970 que la roche basaltique en forme de coussinet était en fait le vestige magmatique d’un volcan sous-marin datant de 155 millions d’années./Y.G.

Hautes-Alpes : une demande de création d’une réserve naturelle au massif du Chenaillet

 Les associations environnementales ont pris leur stylo pour s’associer, une nouvelle fois, contre le remplacement du télésiège du Rocher de l’Aigle et pour la protection du massif du Chenaillet.Ou plutôt, elles ont diffusé un communiqué de presse commun, dans lequel elles dénoncent l’absence de protection du massif, et s’inquiètent d’un redimensionnement du projet lancé par la régie autonome des remontées mécaniques de Montgenèvre. À lire  : Chenaillet : les associations demandent la création d’une réserve naturelle