Les 16 partenaires du consortium commenceront à travailler dès septembre à la construction de la première version du futur Espace européen des données de santé ou European Health Data Space (EHDS).
Pour rappel, le consortium rassemble les plateformes nationales de données de santé de plusieurs Etats membres (France, Finlande, Norvège, Danemark, Allemagne, Belgique) ainsi que l’Agence européenne du médicament (EMA), le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et des infrastructures de recherche.
Cette nouvelle infrastructure doit « apporter un cadre cohérent, fiable et efficace pour l’utilisation des données de santé », qui se décline en une « utilisation primaire » par les citoyens et les professionnels de santé, et « une utilisation secondaire » à des fins de recherche, d’innovation, d’élaboration des politiques et de réglementation, rappelle-t-on.
« L’objectif est désormais de passer de la discussion à la mise en œuvre », et « notamment de nourrir la discussion législative autour du texte présenté par la Commission européenne le 3 mai
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