le président du conseil italien, à la tête du G20 cette année. Joe Biden et Emmanuel Macron avaient en revanche répondu présents. La Chine et la Russie, représentées mardi au niveau ministériel, cherchent à stabiliser au plus vite le pays, quitte à tendre la main aux nouvelles autorités.
A l’inverse, les Occidentaux ne veulent pas reconnaître le pouvoir taliban. Ils conditionnent le dégel de leur aide au développement au respect des droits humains, ceux des femmes et des filles afghanes en particulier, tout comme à la rupture des liens entre les anciens insurgés et les organisations terroristes, comme Al-Qaida.
« Affronter la crise humanitaire suppose des contacts avec les talibans mais cela ne signifie pas leur reconnaissance », Mario Draghi