les convois d’armes des États-Unis et de l’OTAN sont des « cibles légitimes » selon la Russie


Les informations à retenir à la mi-journée

  • Aucun couloir humanitaire n’a été mis en place ce mercredi : le gouvernement estime que faire voyager des civils est « trop dangereux » au regard « de violations du cessez-le feu et du droit humanitaire » par les forces russes.
  • Sur le front militaire, les Ukrainiens déplorent 7 morts et 22 blessés dans des frappes russes dans la région de Kharkiv, ainsi que 7 personnes fusillées par des militaires russes dans un village près de Kherson.
  • 22 000 personnes pourraient être décédées à Marioupol, selon le chef de l’administration d’État régionale de Donetsk.
  • Les Russes ont annoncé la reddition de 1 026 soldats ukrainiens à Marioupol, ce que le maire de la ville a démenti.
  • Les corps de plus de 1500 soldats russes, que « personne ne veut récupérer », reposent à Dnipro, selon l’adjoint au maire de la ville.
  • Le Royaume-Uni a élargi ses sanctions financières à 178 séparatistes et oligarques russes.
  • Joe Biden a accusé son homologue russe Vladimir Poutine de perpétrer un « génocide » en Ukraine, ce qu’Emmanuel Macron a refusé de faire ce mercredi.

18h03 : Le géant indien Infosys se retire de Russie après une polémiqueLe géant indien des logiciels Infosys, au centre d’une polémique, a annoncé mercredi qu’il « transférait » ses activités en Russie hors de ce pays, en raison du conflit en Ukraine.Infosys a fait cette annonce au moment même où le ministre britannique des Finances, Rishi Sunak, est critiqué pour la participation d’environ 1 milliard de dollars détenue par son épouse Akshata Murty dans cette société indienne cofondée par son père, N.R. Narayana Murthy, et dont la capitalisation boursière s’élève à 100 milliards de dollars.Le chancelier de l’Échiquier et son épouse sont accusés de tirer profit des activités d’Infosys en Russie, et ce malgré les sanctions occidentales imposées à Moscou après l’invasion de l’Ukraine le 24 février.

17h59 : La Suisse reprend le cinquième paquet de sanctions de l’UE contre la RussieLa Suisse a repris mercredi le cinquième paquet de sanctions de l’Union européenne contre la Russie, qui concernent notamment le charbon, et a élargi la liste des personnes visées, incluant également les filles de Vladimir Poutine.Une seule exception : les sanctions visant les transports compte tenu « de la situation géographique de la Suisse », précise le gouvernement suisse dans un communiqué.Ce cinquième paquet de sanctions prévoit l’interdiction pour les navires immatriculés sous pavillon russe d’accéder aux ports de l’UE. Le gouvernement suisse a jugé cette sanction « dispensable » dans la mesure où la Suisse, pays de montagnes, n’a pas d’accès direct à la mer.

17h54 : Olaf Scholz n’envisage pas à ce stade d’aller à KievOlaf Scholz a fait savoir mercredi ne pas envisager à ce stade d’aller à Kiev comme le lui demande le président Volodymyr Zelensky, jugeant au passage « irritante » la décision de ce dernier de ne pas recevoir le chef de l’État allemand, Frank-Walter Steinmeier.A la question posée par la radio publique RBB de savoir s’il se rendrait sur place, le chancelier allemand s’est contenté de réitérer qu’il était en contact régulier avec le chef de l’État ukrainien et qu’il était par ailleurs allé à Kiev peu avant le déclenchement de l’invasion russe le 24 février, suggérant qu’une visite n’était pas à l’ordre du jour.

17h34 : Jersey gèle plus de 7 milliards de dollars d’actifs « soupçonnés d’être liés » à AbramovitchLes autorités de Jersey, dépendance de la couronne britannique, ont annoncé mercredi le gel « d’actifs estimés à plus de 7 milliards de dollars soupçonnés d’être liés » à l’oligarque russe Roman Abramovitch, en vertu d’une décision de justice.Des perquisitions ont aussi été effectuées dans des locaux à Jersey « soupçonnés d’être liés aux activités commerciales » d’Abramovitch, selon le communiqué. L’oligarque figure sur la liste de personnes sanctionnées par le Royaume-Uni dans la foulée de l’invasion russe de l’Ukraine le 24 février.

Un « génocide » selon Biden, pas selon Macron : de quoi parle-t-on précisément ?
Le président américain a, par deux fois, dénoncé un « génocide » ukrainien par les Russes mardi soir. Interrogé sur la question, Emmanuel Macron a refusé cette qualification, disant vouloir « rester prudent avec les termes » tout en dénonçant des crimes de guerre. Autant de termes qui, en principe, répondent à une définition précise.Lire ici notre décryptage.

17h24 : Zelensky réclame de l’ « artillerie lourde », « des véhicules armés » et « des avions de combat pour repousser les forces russes » Dans une vidéo en anglais, diffusée sur son compte Twitter, le président ukrainien s’est adressé à ses alliés occidentaux pour demander davantage d’aide militaire, alors que l’armée russe se concentre depuis plusieurs jours dans le Donbass en préparation d’une probable large offensive.« Nous avons besoin d’artillerie lourde, de véhicules armés, de systèmes de défense aérienne, d’avions de combat pour repousser les forces russes », dit-il notamment, avant d’énumérer spécifiquement les engins et les munitions que réclame son armée pour « sauver des millions d’Ukrainiens, ainsi que des millions d’Européens ».

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16h48 : Les convois d’armes des États-Unis et de l’OTAN sont des « cibles légitimes » selon la RussieLa Russie considérera les véhicules des États-Unis et de l’OTAN transportant des armes en Ukraine comme des « cibles militaires légitimes », a déclaré mercredi le vice-ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Riabkov, dans une interview à l’agence de presse TASS.« Les tentatives pour ralentir notre « opération spéciale » en infligeant un maximum de dégâts aux troupes et formations russes des « républiques populaires de Donetsk et de Louhansk » seront durement réprimées », a-t-il ajouté.

16h45 : Les présidents baltes et polonais à Borodianka, lieux de « douleur et de souffrance »Après une visite à Kiev pour soutenir le président Zelensky, les présidents polonais et baltes se sont rendus mercredi à Borodianka, une petite ville ukrainienne près de la capitale, que le président lituanien Gitanas Nauseda a dépeinte comme « imprégnée de douleur et de souffrance ».« C’est ici que le côté sombre de l’humanité a montré son visage », a écrit sur Twitter le chef de l’Etat lituanien, dans la ville qui avait été détruite par les bombes et le théâtre d’exactions présumées pendant la longue occupation russe.

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16h28 : Impossible de contrôler la radioactivité à Tchernobyl, selon les autorités ukrainiennesLes autorités ukrainiennes ne parviennent pas à rétablir les moyens de surveillance de la radioactivité à Tchernobyl, dans le nord de l’Ukraine, où les soldats russes ont créé selon elles un réseau souterrain lorsqu’ils ont occupé le site du pire accident nucléaire jamais survenu.« Le système pour contrôler le niveau de radioactivité dans la zone interdite ne fonctionne toujours pas », a déclaré Evguen Kramarenko, à la tête de l’agence d’État chargée de la zone interdite de Tchernobyl. « Les serveurs qui gèrent ces informations ont disparu », a-t-il ajouté, au cours d’une visioconférence. « Nous ne pouvons pas dire si la zone est entièrement sans danger. » 

16h25 : L’UE va permettre aux réfugiés ukrainiens de convertir leur argentLes pays membres de l’Union européenne ont décidé de permettre aux réfugiés ukrainiens de convertir sans frais jusqu’à 10 000 hryvnias (environ 310 euros) dans la monnaie de leur pays d’accueil, a annoncé mercredi le Conseil européen.L’accord trouvé mercredi par les ambassadeurs à Bruxelles a été soumis pour validation aux capitales et la mesure devrait entrer en vigueur le 19 avril. « L’objectif est de soutenir davantage les réfugiés qui éprouvent des difficultés à convertir leurs billets dans des monnaies de l’UE », explique le communiqué du Conseil de l’UE, l’instance des États membres.

16h22 : Une artiste arrêtée en Russie pour avoir critiqué l’offensive en UkraineLa justice russe a annoncé ce mercredi l’incarcération d’une artiste qui avait remplacé des étiquettes de produits dans un supermarché par des messages contenant des informations « fausses » sur l’offensive militaire de Moscou en Ukraine. Alexandra Skotchilenko a été placée en détention provisoire jusqu’au 31 mai et est accusée d’avoir propagé de « fausses informations » sur l’armée russe, un crime passible d’une lourde peine de prison, a indiqué le service de communication des tribunaux de Saint-Pétersbourg dans un communiqué.

16h19 : Le drone qui s’est écrasé à Zagreb en mars transportait une bombeLe drone militaire de conception soviétique qui s’est écrasé en mars à Zagreb en Croatie transportait une bombe aérienne chargée d’une « substance explosive » inconnue, ont annoncé les enquêteurs ce mercredi.Cet engin, un Tupolev Tu-141 Strizh probablement lancé depuis l’Ukraine, a survolé trois pays membres de l’Otan, la Roumanie, la Hongrie et une grande partie de la Croatie, avant de s’écraser dans un parc de Zagreb, à quelques pas d’une cité universitaire hébergeant 4 500 étudiants. Le crash et l’explosion qui a suivi n’avaient pas fait de victimes.

16h05 : Le Kremlin écarte l’idée d’échanger un proche de Poutine arrêté en UkraineLe Kremlin a esquivé mercredi l’idée d’échanger le député et homme d’affaires ukrainien Viktor Medvedtchouk, un proche de Vladimir Poutine arrêté en Ukraine et que Kiev propose de remettre à Moscou contre la libération de prisonniers détenus en Russie.« Concernant l’échange évoqué avec tant d’ardeur et de plaisir par différentes personnalités à Kiev, Medvedtchouk n’est pas un citoyen russe, il n’a aucun lien avec l’opération militaire spéciale (en Ukraine), c’est un politicien étranger », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.« Nous ne savons absolument pas s’il souhaite que la Russie prenne part à la résolution de l’affaire calomnieuse le visant », a poursuivi Dmitri Peskov.

15h06 : Le groupe de cacao Barry Callebaut justifie le maintien de ses activités en RussieLe patron du groupe suisse Barry Callebaut, un fournisseur de cacao et de chocolat, a justifié le maintien de ses activités en Russie, expliquant faire la distinction entre le « gouvernement russe » qui a lancé l’attaque contre l’Ukraine et « le peuple russe ».Le groupe qui dispose de trois usines en Russie, dont une ouverte l’an passé dans l’enclave russe de Kaliningrad, sur les bords de la mer Baltique, maintient pour l’instant la production dans le respect des sanctions internationales, a-t-il insisté lors d’une conférence de presse à l’occasion de la publication de ses résultats semestriels.« Nous sommes là d’abord et avant tout pour nos employés », a expliqué Peter Boone, qui a repris les commandes du groupe en septembre, en détaillant les éléments qui ont pesé dans la balance. Le groupe suisse y emploie 500 personnes.

14h46 : Le Kremlin juge « inacceptable » que Biden accuse Poutine de génocide« Notre désaccord est catégorique et nous considérons que de telles tentatives de déformer la réalité sont inacceptables, d’autant plus qu’elles viennent du président des Etats-Unis, pays dont les agissements dans l’histoire récente sont bien connus », a commenté Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. Joe Biden a confirmé mardi matin accuser son homologue russe Vladimir Poutine de « génocide » en Ukraine, quelques heures après avoir utilisé ce mot pour la première fois afin de qualifier la situation dans le pays envahi par Moscou : « Oui, j’ai appelé ça un génocide ».

14h26 : Si les sanctions perdurent, l’économie russe mettra des années à se reconstruireLe président de la Cour des comptes de Russie a estimé mercredi que l’économie du pays mettrait des années à se reconstruire si les sanctions internationales imposées du fait de l’offensive en Ukraine restaient durablement en vigueur. « Il faut séparer le court et le moyen terme. Si les sanctions restent au niveau actuel, il faudra environ deux ans de reconstruction, pas moins », a estimé, selon les agences russes, Alexeï Koudrine, un ex-ministre des Finances très respecté dans le pays. « Puis, il faudra rebâtir durant de nombreuses années, car ce dont on parle c’est de remplacer toute une série de produits importés », a-t-il ajouté.Il a jugé en outre que l’inflation serait comprise fin 2022 entre 17 et 20%.

14h09 : Le président Zelinsky appelle l’Europe à agir avant que la Russie n’attaque d’autres paysLe président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mercredi l’Europe à agir plus rapidement contre la Russie, estimant que l’« on peut soit arrêter la Russie soit perdre toute l’Europe de l’Est ».« Si l’Europe perd du temps, la Russie utilisera ce temps pour étendre la zone de guerre à d’autres pays », a-t-il dit dans un discours prononcé à l’attention du Parlement estonien.

13h40 : La Finlande prendra sa décision « d’ici quelques semaines » sur sa demande d’adhésion à l’OtanLa Finlande prendra « d’ici quelques semaines » sa décision sur une possible candidature à l’Otan en conséquence de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, a affirmé mercredi la Première ministre du pays nordique.« Je pense que ça interviendra assez vite. D’ici quelques semaines, pas quelques mois », a-t-elle affirmé lors d’une visite à son homologue suédoise Magdalena Andersson, alors que la Suède n’exclut pas elle non plus de rejoindre l’alliance militaire occidentale. Sa candidature devrait d’ailleurs être soumis à la fin juin.

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13h36 : « L’Ukraine est une scène de crime » selon le procureur de la CPILe procureur de la Cour pénale internationale (CPI), le Britannique Karim Khan, a qualifié mercredi l’Ukraine de « scène de crime », lors d’une visite à Boutcha, près de Kiev.« L’Ukraine est une scène de crime. Nous sommes ici parce que nous avons de bonnes raisons de penser que des crimes relevant de la compétence de la Cour sont commis. Nous devons transpercer le brouillard de la guerre pour parvenir à la vérité », a-t-il déclaré à la presse lors d’une visite de cette ville, où des centaines de civils, selon les autorités ukrainiennes, ont été retrouvés morts après l’occupation russe.« Nous devons garder l’esprit ouvert et nous fier aux preuves », a-t-il ajouté. « La loi doit être mobilisée et lancée dans la bataille pour protéger les civils ».

13h33 : Une centaine de sites du patrimoine ukrainien endommagés La barre des 100 sites du patrimoine ukrainien endommagés ou totalement détruits depuis le début de l’offensive militaire russe en Ukraine le 24 février est sur le point d’être franchie, alerte le directeur du centre du patrimoine mondial de l’Unesco.Signataires de la convention de la Haye de 1954, l’Ukraine et la Russie ont l’obligation de protéger le patrimoine culturel en cas de conflit armé, souligne le Camerounais Lazare Eloundou Assomo, rappelant que la « destruction délibérée de sites marqués par l’emblème bleu » de la convention peut être considérée comme un crime de guerre.

13h28 : Zelensky prêt à recevoir Olaf Scholz, dont il veut des armes lourdesLe président ukrainien Volodymyr Zelensky souhaite toujours instamment la venue à Kiev d’Olaf Scholz, dont il attend rapidement des livraisons d’armes lourdes. Le chancelier allemand est attendu à Kiev afin d’annoncer des « décisions pratiques » pour soutenir l’Ukraine, a affirmé Oleksiï Arestovitch, un conseiller du président ukrainien, sur la chaine publique allemande ZDF. En particulier, le sort de Marioupol et de la population à l’est du pays « dépend des armes allemandes que nous pouvons obtenir » mais qui ne viennent pas, a-t-il souligné.

13h20 : Le Royaume-Uni élargit ses sanctions à 178 séparatistes et des oligarquesLe Royaume-Uni a annoncé mercredi élargir, en coordination avec l’UE, la liste de personnes sanctionnées pour y intégrer 178 séparatistes prorusses, mais aussi de nouveaux oligarques et leurs proches, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.Parmi les personnes sanctionnées figurent notamment Alexandre Anantchenko et Sergueï Kozlov, qualifiés par Londres de dirigeants « autoproclamés » des « républiques » séparatistes prorusses de Donetsk et Lougansk.Au delà des séparatistes, les sanctions visent aussi Maria Lavrova, la femme du chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, et le député et riche hommes d’affaires ukrainien Viktor Medvedtchouk, proche du président russe Vladimir Poutine et dont Kiev a annoncé mardi l’arrestation.La liste compte aussi Vaguit Alekperov, le patron du numéro deux du secteur pétrolier russe Loukoïl ou encore Vladimir Ievtouchenkov, qui détient le conglomérat Sistema. « Le gouvernement britannique sanctionne, en coordination avec l’UE, 178 personnes qui soutiennent les régions sécessionnistes illégales d’Ukraine », après « de nombreuses informations la semaine dernière selon lesquelles la Russie ciblait, de façon barbare, les civils dans ces régions », a annoncé l’exécutif.

13 heures  : plus de 1500 soldats russes tués reposent à Dnipro, selon l’adjoint au maire Selon l’adjoint au maire de Dnipro, au bord du Dniepr, où de nombreux combats ont eu lieu ces derniers jours, les corps de plus 1 500 soldats russes sont actuellement dans les morgues de la ville.« On a aujourd’hui dans les morgues de Dnipro plus de 1 500 soldats russes morts, que personne ne veut récupérer », a déclaré Mikhaïl Lyssenko dans une interview au média en langue russe Nastoïachtchee Vremia, affirmant espérer que des « mères russes puissent venir chercher leurs fils ».

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12h51 : Sept personnes fusillées par des militaires russes dans un village près de KhersonSept personnes ont été fusillées mardi dans une maison d’un village de la région de Kherson dans le sud de l’Ukraine par des militaires russes, a annoncé mercredi le parquet général ukrainien. « Selon l’enquête, les militaires russes ont fusillé six hommes et une femme dans le village Pravdyné. Ayant l’intention de dissimuler le crime, les occupants ont fait exploser la maison où ce trouvaient les corps des personnes fusillées », a indiqué le parquet dans un communiqué. 

11h45 : 7 morts et 22 blessés dans des frappes russes dans la région de KharkivSept personnes ont été tuées dans des frappes russes dans la région de Kharkiv (nord-est) au cours des dernières 24 heures, a indiqué mercredi le gouverneur régional. 22 autres ont été blessées, a indiqué le gouverneur Oleg Synegoubov sur Telegram en précisant qu’un garçon de deux ans blessé il y a deux jours dans un bombardement a succombé à ses blessures mardi à l’hôpital. 

11h33 : L’Ukraine déjoue une cyberattaque sur son réseau électriqueL’Ukraine assure avoir déjoué une cyberattaque russe visant l’une de ses plus grandes installations énergétiques. Selon les « cyber-pompiers » du CERT (Computer Emergency Response Team) ukrainien, l’attaque a été menée par Sandworm, un groupe de pirates informatiques ayant des liens avec les services de renseignement russes. Elle était conçue pour priver des « millions » d’Ukrainiens d’électricité et devait frapper en deux vagues.La première a eu lieu en février et la seconde, déjouée, était prévue le 8 avril. Si le logiciel malveillant (malware) du groupe a réussi à pénétrer dans le système de gestion du réseau de l’installation, il n’a entraîné aucune coupure de courant, a déclaré durant un point presse Victor Jora, un haut responsable ukrainien.

10h34 : Reddition de 1 026 soldats ukrainiens : « c’est faux » selon le maire de MarioupolSergueï Orlov, maire-adjoint à Marioupol, a démenti sur BFMTV l’information russe selon laquelle plus d’un millier de soldats ukrainiens se seraient rendus : « Je comprends que c’est faux, des combats se déroulent dans la ville, et nos défenseurs, l’armée ukrainienne et le bataillon Azov, se battent et défendent notre ville. Il peut y avoir des captures, mais ce que dit la propagande est faux et nous ne confirmons pas cette information, même si nous savons qu’il peut arriver beaucoup de choses au moment des combats », a-t-il répondu.

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Qui est Viktor Medvedtchouk, ce milliardaire proche de Poutine arrêté en Ukraine ?
Assigné à résidence en Ukraine, ce député proche du président russe Vladimir Poutine avait pris la fuite après le début de l’invasion russe. L’armée ukrainienne l’a retrouvé, habillé d’un uniforme militaire, lors d’une opération spéciale mardi. Zelensky propose de l’échanger contre des prisonniers ukrainiens. Plus d’infos dans cet article.

10h19 : L’économie allemande plongerait dans la récession en 2023 en cas d’embargo sur le gaz russe L’Allemagne plongerait dans la récession en 2023 en cas d’arrêt immédiat des approvisionnements en gaz russe décidé dans le sillage de la guerre en Ukraine, ont affirmé mercredi les principaux instituts allemands de prévisions économiques.En 2023, le Produit intérieur brut de la première économie européenne reculerait de 2,2 % en cas d’arrêt des livraisons de gaz, dont l’Allemagne est particulièrement dépendante, affirment ces six organisations influentes (DIW, IFO, IfW, IWH et RWI). La perte de PIB cumulée sur 2022 et 2023 s’élèverait à environ 220 milliards d’euros, précisent-ils.

957C’est le nombre d’écoles qui ont été endommagées en Ukraine, dont 88 ont été complètement détruites par les frappes russes, selon le bureau du procureur général.

9h14 : Reddition de plus d’un millier de soldats ukrainiens à Marioupol, selon la RussiePlus d’un millier de soldats ukrainiens se sont rendus aux forces russes dans la ville de Marioupol, assiégée depuis des semaines, a déclaré mercredi le ministère de la Défense russe.« Dans la ville de Marioupol, dans la zone de l’usine métallurgique Ilitch (…) 1 026 militaires ukrainiens de la 36ème brigade marine ont volontairement déposé les armes et se sont rendus », a indiqué le ministère dans un communiqué, précisant qu’il y avait 47 femmes et 126 officiers parmi eux. Selon cette source, 150 d’entre eux étaient blessés et ont été pris en charge à l’hôpital de la Marioupol.

9h09 : Le Vatican veut rassembler des familles ukrainiennes et russes pour porter la croixL’ambassadeur d’Ukraine près le Saint-Siège a dit comprendre les «préoccupations» autour de l’initiative du Vatican visant à rassembler des femmes ukrainienne et russe lors des célébrations du Vendredi saint à Rome en présence du pape. Des familles ukrainienne et russe ont été invitées par le Vatican à porter ensemble le crucifix, en signe de paix face à la guerre en Ukraine. « Nous travaillons actuellement sur ce sujet en essayant d’expliquer les difficultés de sa réalisation et les possibles conséquences », a déclaré Andrii Yurash.

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8h53 : Pas de couloirs humanitaires mercredi, « trop dangereux », selon KievL’Ukraine n’ouvrira aucun couloir humanitaire mercredi, a déclaré une responsable du gouvernement en accusant les Russes de « violer les normes du droit international » ce qui rend la situation « dangereuse ». « Malheureusement, nous n’ouvrirons pas de couloirs humanitaires aujourd’hui. Dans la région de Zaporijjia (sud), les occupants ont bloqué les bus et dans la région de Lougansk, ils violent le cessez-le feu », a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk sur Telegram. Les forces russes ne contrôlent pas correctement leur personnel sur le terrain, et tout cela crée un tel niveau de danger sur les routes que nous sommes contraints de nous abstenir d’ouvrir les corridors humanitaires aujourd’hui.

8h12 : « Pas de confirmation » de l’utilisation d’armes chimiques à Marioupol« Nous prenons avec grande attention les rapports d’hier sur l’utilisation de munitions avec une substance toxique à Marioupol contre les défenseurs de la ville. Il n’est pas encore possible de tirer des conclusions à 100% sur le type de substance dont il s’agissait », a affirmé Volodymyr Zelensky mardi soir. Il a ajouté qu’une enquête « complète » était actuellement « impossible ». Néanmoins, a-t-il dit, « le monde » doit « réagir de manière préventive ». « Car après l’utilisation d’armes de destruction massive, toute réaction ne changera rien. Et elle ne ressemblera qu’à une humiliation pour le monde démocratique. »Les Etats-Unis ont fait état d’« informations crédibles » sur la possibilité que la Russie fasse usage d’« agents chimiques » dans son offensive pour prendre la ville de Marioupol. Mais, a précisé le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, Washington n’est pas « en mesure de confirmer » de récentes accusations formulées, mardi, par le régiment ukrainien Azov.

7h59  : Emmanuel Macron refuse de reprendre le terme de « génocide », « les mots ont un sens »Invité des 4 Vérités sur France 2 mercredi matin, Emmanuel Macron a refusé de reprendre les mots de Joe Biden, qui a accusé Poutine de « génocide » en Ukraine. « La Russie a déclenché unilatéralement cette guerre, et il est établi que des crimes de guerre ont été commis par l’armée russe et il faut en trouver les responsables pour qu’ils soient traduits en justice. Mais je serais prudent avec les termes aujourd’hui, parce que ce sont des peuples frères, et les mots ont un sens », a-t-il déclaré. « C’est une folie ce qui est en train de se passer, c’est d’une brutalité inouïe, nous vivons des crimes de guerre inédits sur notre sol européen. Je veux essayer au maximum d’arrêter cette guerre, et je ne suis pas sur que l’escalade des mots servent la cause », a ajouté le président candidat.

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7h47 : Les présidents de la Pologne, de la Lituanie, de la Lettonie et de l’Estonie se rendent à KievLe président de la Lituanie Gitanas Nauseda est en route pour Kiev, portant un « message fort de soutien politique et d’assistance militaire », selon une de ses déclarations sur Twitter. « La Lituanie continuera de soutenir le combat de l’Ukraine pour sa souveraineté et sa liberté », écrit-il.Il est accompagné du président polonais, Andrzej Duda, d’Egils Levits, président de la République de Lettonie, et d’Alar Karis, président de la République d’Estonie. Ils rencontreront le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à Kiev pour discuter de la fourniture d’une assistance à l’armée et aux civils ukrainiens, ainsi que de l’enquête sur les crimes de guerre, afin de traduire en justice les responsables.

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7h20 : 22 000 personnes pourraient avoir été tuées à Marioupol« 21 000 personnes ont été tuées à Marioupol », selon les estimations du maire de la ville ukrainienne, invité mardi sur BFMTV. « Nous pouvons dire qu’entre 20 et 22 000 personnes sont mortes » dans cette ville, a quant à lui déclaré Pavlo Kirilenko, le gouverneur ukrainien de la région de Donetsk, lors d’un entretien avec la chaîne de télévision américaine CNN. Le gouverneur faisait état auparavant de 10 000 tués dans la ville assiégée, coupée du monde et bombardée depuis plus de 40 jours par les Russes.90% des maisons détruites« 90% des maisons » ont été détruites à Marioupol, selon le conseiller présidentiel ukrainien Mykhaylo Podolyak.






Ce que l’on sait des accusations d’usage d’armes chimiques à Marioupol
Un dirigeant de la république séparatiste autoproclamée de Donetsk (DNR) a menacé d’utiliser des armes chimiques à Marioupol, avant d’assurer qu’il ne l’avait pas fait. Plusieurs enquêtes sont en cours sur le sujet, dans cette ville assiégée depuis 40 jours. Si l’usage d’armes au phosphore semble infirmé, la menace persiste.>>Plus d’informations dans notre article.

6h56 : La Finlande lance son débat sur l’Otan La Finlande publie ce mercredi un rapport-clé sur sa situation stratégique après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, prélude à un débat sur une désormais probable candidature historique à l’Otan d’ici l’été. Un adhésion à l’Alliance atlantique du pays frontalier avec la Russie était auparavant inenvisageable et vu comme une provocation. 

6h18 : Zelensky propose d’« échanger » le proche de Poutine arrêté contre les Ukrainiens en captivitéLe président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi soir à Moscou d’« échanger » le député et homme d’affaires ukrainien Viktor Medvedtchouk, proche du président russe Vladimir Poutine et récemment arrêté, contre les Ukrainiens en captivité en Russie.« Je propose à la Fédération de Russie d’échanger cet homme contre nos garçons et nos filles qui sont actuellement en captivité en Russie », a déclaré M. Zelensky dans une allocution vidéo publiée sur Telegram.

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5h53 : Biden confirme accuser Poutine de « génocide » en UkraineJoe Biden a confirmé mardi accuser son homologue russe Vladimir Poutine de « génocide » en Ukraine, quelques heures après avoir utilisé ce mot pour la première fois afin de qualifier la situation dans le pays envahi par Moscou.« Oui, j’ai appelé ça un génocide », a répondu le président américain à des journalistes lors d’un déplacement dans l’Iowa. « Il est de plus en plus clair que Poutine essaie simplement d’effacer l’idée même de pouvoir être un Ukrainien », a-t-il ajouté, affirmant que les « preuves s’accumulaient ».Si « les avocats, au niveau international », trancheront sur la qualification de génocide, « pour moi, cela y ressemble bien », a-t-il assuré.M. Zelensky a salué sur Twitter les « vrais mots d’un vrai leader », car « appeler les choses par leur nom est essentiel pour s’opposer au mal », tout en réclamant « en toute urgence plus d’armes lourdes ».

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5h47 : Vladimir Poutine « ne s’arrêtera pas »Des analystes estiment que Vladimir Poutine, embourbé face à la résistance acharnée des Ukrainiens, veut obtenir une victoire dans cette région avant le défilé militaire du 9 mai marquant sur la Place Rouge la victoire soviétique sur les nazis en 1945. En visite mardi dans l’Extrême-Orient russe, le président russe a assuré que l’offensive de ses forces en Ukraine se poursuivait « en conformité avec le plan proposé dès le départ par l’état-major ». Il a affirmé que si les négociations, désormais au point mort, ne débouchaient pas, c’est à cause des « incohérences » de la partie ukrainienne. Kiev, de son côté, a confirmé que les négociations étaient « extrêmement difficiles » avec Moscou. Vladimir Poutine a en fait « décidé qu’il ne s’arrêterait pas », a déclaré le président français Emmanuel Macron dans un entretien au Point, disant croire « assez peu à notre capacité collective à le mettre autour d’une table de négociation à court terme ».

5h46 : Les derniers faits marquants sur le front militaire– A Marioupol, port stratégique de la mer d’Azov assiégé depuis plus de 40 jours, les forces russes resserrent leur étau sur les soldats ukrainiens « encerclés et bloqués » dans la ville, où au moins 20 000 personnes ont péri depuis la fin février. Le gouverneur Pavlo Kirilenko a indiqué que la ville est désormais en proie « jour et nuit » à « des combats de rue ». Il a cependant admis n’avoir « presque plus de contacts » avec Marioupol. Le chef des séparatistes prorusses de Donetsk a affirmé lundi que ses forces avaient conquis entièrement la zone portuaire de Marioupol.- Dans l’est, devenu la cible prioritaire du Kremlin, l’armée ukrainienne dit s’attendre « très prochainement » à une offensive russe. « L’ennemi tentera de prendre le contrôle de Marioupol, de s’emparer de Popasna (située entre Donetsk et Lougansk, ndlr) et de lancer une offensive en direction de Kurakhove (à l’ouest de Donetsk) afin d’atteindre les frontières administratives de la région de Donetsk », a estimé mardi matin l’état-major de l’armée ukrainienne.- Le gouverneur ukrainien de la région de Lougansk, a révélé mardi qu’environ 400 civils avaient été enterrés depuis le début de la guerre dans la seule ville de Severodonetsk.

Ce qu’il faut retenir de la journée de mardi

  • Kiev et les Occidentaux accusent les forces russes de vouloir recourir à des « agents chimiques » pour déloger les soldats ukrainiens retranchés dans la ville.
  • Joe Biden a semblé accuser l’armée russe de « génocide » en Ukraine, utilisant pour la première fois ce terme afin de qualifier la situation dans le pays.
  • Le massacre de civils présumés dans la ville de Boutcha est « un fake », a affirmé Vladimir Poutine.
  • Kiev a déclaré dans la foulée que les négociations avec Moscou en vue d’un accord de paix sont « extrêmement difficiles ».
  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé « des centaines de cas de viol » constatés selon lui dans les zones précédemment occupées par l’armée russe, « y compris de jeunes filles mineures et de tout petits enfants ».
  • Le député et homme d’affaires ukrainien Viktor Medvedtchouk, proche de Vladimir Poutine et en fuite depuis le début du conflit, a été arrêté par les services de sécurité ukrainiens.
  • Les corps de six personnes « présentant des blessures par balle » ont été retrouvés dans un sous-sol d’une maison de la banlieue est de Kiev.
  • Plus de 4,6 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis le début du conflit.

5h45 : Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct où nous allons suivre la situation autour du conflit en Ukraine, ce mercredi 13 avril, au 49e jour de l’invasion russe.