Mathieu Chabert, contacté par le Red Star : « Je suis dans une phase de réflexion »


qui l’a contacté pour prendre la succession de Vincent Bordot Dans mon cas où on a eu l’opportunité soit de mener au score soit de se mettre à l’abri.

Mathieu Chabert, cet été, en compagnie de Benjamin Santelli (numéro 9) et de Yohan Bocognano (à droite). (N. Luttiau/L’Équipe)

Mathieu Chabert, contacté par le Red Star : « Je suis dans une phase de réflexion »

J’ai 42 ans, il me reste vingt ans de carrière. Il y a dix ans, j’entraînais en DHR. Je me suis fait tout seul, sans carrière professionnelle (de joueur). J’ai la chance de pouvoir prendre mon temps mais si un club de L2 m’appelle, après-demain j’y suis. Vous avez été cité comme une piste sérieuse pour aller au Red Star. Avez-vous eu des contacts avec les dirigeants franciliens ?Oui, ils ont fait part de leur intérêt le lendemain de mon éviction. C’est quelque chose de très agréable. J’ai rencontré les dirigeants. Ça s’est très bien passé mais je suis dans une phase de réflexion. Je dois donner ma réponse avant la fin de semaine. « Le Red Star a un projet intéressant. mais s’il était en L2, je ne me poserais pas la question  : j’y serais déjà » Vous avez donc passé le stade de la simple prise de renseignements.Oui oui, on a discuté de ma venue physiquement avec le président (Patrice Haddad) et le responsable du recrutement (Kevin Lesportes). Je réfléchis. Je dois donner ma réponse en fin de semaine. Aujourd’hui, je suis prêt à replonger tout de suite pour un club qui évolue plus haut (que le National). Même si le contact a été très bon avec les dirigeants, même si c’est un club emblématique comme l’était le Sporting quand je l’ai repris, je ne suis pas dans la même situation que quand je suis arrivé en Corse. Vous préféreriez relever un défi en L2 directement ?Je suis quelqu’un de respectueux, quand on me contacte, je me fais le devoir de rencontrer les gens qui me présentent un projet. Le Red Star en a un intéressant. mais s’il était en L2, je ne me poserais pas la question  : j’y serais déjà. Il faut bien peser le pour et le contre. J’estime avoir fait le tour du National et si je repars sur une expérience à ce niveau, je serai justement étiqueté entraîneur de National. »