à l’issue du Grand Prix des Pays-Bas qu’il a conclu en 4e position après une course solide et un contact avec Álex Rins.
34 points derrière Fabio Quartararo.
Aujourd’hui, nous publions ses propos en français après la première partie traduite de l’anglais.
Qu’est-ce qui manque à la Ducati pour pouvoir rester avec les Yamaha ?
Johann Zarco : « Je pense qu’il ne manque vraiment pas beaucoup à la Ducati, mais sur ce circuit il manquait sans doute davantage, parce que on avait et Fabio et Viñales qui étaient vraiment forts. Mais je trouve que finalement il ne manque pas tant que ça, et la force de Fabio depuis le début de l’année c’est quand même une grande confiance en la moto et en son potentiel.
Tu vois dans son pilotage qu’il n’a pas d’hésitation et il y va en toute confiance ! Moi, ce sont des choses qui me manquent. Ce sont des choses qui viennent petit à petit, qui prennent un peu de temps, mais clairement tant que je résiste et que je donne des efforts, je me dis que petit à petit ça se débloque. J’ai envie que ça se débloque plus vite, mais quasiment, en obtenant le niveau de confiance qu’a Fabio actuellement, pour moi ça peut déjà devenir beaucoup beaucoup plus performant sur la moto qu’on a, tout au long du week-end jusqu’à la course.
Donc voilà, il n’y a pas que la moto, à mon avis il y a aussi un niveau de confiance qui lui permet de faire de belles choses. »
Dans quel état psychologique et physique termines-tu cette première partie de saison ?
40 minutes de course pile-poil.
Je suis content d’avoir su me concentrer suffisamment. »
Qu’est-ce qu’il va falloir faire pour battre Fabio ou commences-tu déjà à regarder derrière ?
« C’est mieux de regarder devant, pour continuer à très bien avancer. Et comme j’ai fait un peu sur cette course : Opter pour le podium j’ai pensé à pouvoir l’avoir en suivant Maverick, en essayant de rester au contact de Mir sur la fin, et au calcul ça m’a finalement fait prendre des points sur tous ceux qui me suivent, même si j’en perds sur Fabio.
Donc voilà, la stratégie de continuer à regarder devant, ça aide toujours à avancer. Et faire le point sur tout ce que j’ai pu apprendre en sensations sur cette première moitié : Si j’arrive à les appliquer rapidement sur la deuxième moitié dès les essais libres, ça sera jouer dans les trois premiers, comme fait Fabio. Il ne quitte pas les trois premiers dès la FP1, et quand tu as cette vitesse là, tu vois que ça te donne une marge en course.
»
Dans ton bilan de la première moitié de championnat, de quoi es-tu très content et de quoi l’es-tu un peu moins ?
Classement du Grand Prix MotoGP des Pays-Bas au TT Assen :
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