le directeur de la rédaction. “Elle n’est pas libre ni de sa parole ni de ses mouvements”.
son premier depuis le mois de novembre. Elle est arrivée dans une salle prévue pour l’interview «avec un membre du CIO chinois et un autre Chinois dont on ne savait pas exactement quel était le rôle mais qui parlait français», précise Jérôme Cazadieux, qui ajoute que son journal a été «au-delà des questions qui avaient été adressées». L’entretien a notamment duré beaucoup plus longtemps que ce qui avait été accepté au départ.Est-ce qu’il faut pour autant la croire, compte tenu du contexte ? «On a le droit de ne pas la croire, répond Jérôme Cazadieux. Nous le but c’était surtout de la rencontrer, lui manifester notre soutien.» Est-elle libre de se déplacer et voyager hors du territoire chinois ? «Elle a dit vouloir aller à Lausanne, indique Jérôme Cazadieux. Cela doit engager le CIO et les médias à suivre le dossier Peng Shuai.»
«Toujours restée en contact»
je serai pour toujours une joueuse de tennis.»