via une forte baisse d’impôt. Un « bouclier tarifaire », selon le chef du gouvernement.
Pour le gaz, ces annonces étaient d’autant plus urgentes que les prix augmentent tous les mois pour quelque 5 millions de foyers. Après les violentes hausses de l’été, les prix du gaz doivent encore croître de 12,6 % ce vendredi 1er octobre. Du jamais-vu.
Et le mouvement devait se poursuivre : le gouvernement estime que les tarifs réglementés auraient grimpé de 30 % au cours des deux derniers mois de l’année s’il n’était pas intervenu.
Mesure est autofinancée
« A partir d’avril le gouvernement veut plafonner la hausse à 4 % sur une période qui irait de février 2022 à février 2023
Un manque à gagner d’environ 4 milliards
Traumatismes du quinquennat