ce 16 mai 2021, des derniers propos
tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
(Président de la République)
extrémistes violents n’ont leur place nulle part. Avec la Nouvelle-Zélande, il
y a deux ans, nous avons lancé un appel à lutter contre eux, en associant
États, entreprises et société civile.
La lutte contre les contenus terroristes
et extrémistes violents ne peut se faire au détriment de nos valeurs : sociétés
ouvertes, règle de droit, un Internet libre, ouvert et sûr. C’est à nous,
démocraties et défenseurs des libertés, de trouver les bonnes solutions. Il est
de notre devoir de protéger nos citoyens.
Nous avons tous un rôle à jouer pour
mettre en œuvre les engagements de l’Appel de Christchurch. Ce soir, nous avons
réaffirmé notre volonté de continuer sur cette voie, ensemble.
militaires mobilisés pour accélérer la vaccination partout en France : merci.
b style= »mso-bidi-font-weight: normal; »> Gouvernement
Jean Castex (Premier
ministre)
À tous ceux qui se sont mobilisés pour atteindre cet objectif : merci pour
votre engagement et votre exceptionnelle mobilisation.
président de la République, une réforme très ambitieuse de la gestion de ses
cadres supérieurs, ces hauts fonctionnaires qui servent l’État avec abnégation
et dévouement, et qui sont pourtant régulièrement livrés en pâture à l’opinion
publique. Procès tellement facile et surtout tellement injuste ! Depuis plus
d’un an, face à la crise que nous traversons, tous les fonctionnaires – des
plus modestes aux plus gradés -, ont répondu présents, exerçant leur métier
avec compétence, sans compter ni leur temps ni leur peine.
À tous, je veux dire
une nouvelle fois ma profonde reconnaissance.Mais, soyons lucides, la crise a aussi révélé des carences, des insuffisances
et des difficultés structurelles. De cela, les fonctionnaires ne sont
évidemment pas responsables.
Cela relève autant des autorités politiques en
charge de les diriger qu’une organisation collective dans laquelle trop souvent
«la qualité se consume dans l’impuissance», pour reprendre le mot du Général de
Gaulle.Le moment est donc venu de reprendre la marche en avant de l’État, pour adapter
son fonctionnement aux défis d’aujourd’hui et préparer ceux de demain. Et dans
ce mouvement, la rénovation de la gestion de ses ressources humaines s’impose à
l’évidence.
La dernière réforme d’ampleur de la haute fonction publique remonte
à l’après-guerre, lorsque le général de Gaulle et Michel Debré décidèrent de
créer l’ENA par l’ordonnance du 9 octobre 1945.Les objectifs alors poursuivis demeurent plus que jamais les nôtres: mettre fin
aux chasses gardées, forger un creuset de hauts fonctionnaires bien formés,
disposer d’une haute fonction publique neutre et compétente, promouvoir
l’interministérialité pour améliorer l’efficacité globale de l’État. Mais force
est de reconnaître que leur mise en œuvre s’est progressivement érodée.
De fait, aucune gestion des ressources humaines n’a véritablement réussi à
émerger. Les logiques ministérielles ont largement repris le dessus,
caractérisées par des mobilités insuffisantes et des règles statutaires et
indemnitaires cloisonnées. Quelques chasses gardées permettent des carrières
accélérées.
Les affectations, trop exclusivement parisiennes, sont en décalage
croissant avec une République qui s’est à la fois décentralisée et
déconcentrée. Aujourd’hui, hors Éducation nationale, 87 % des effectifs de
la fonction publique d’État exercent leurs missions dans les territoires, mais
92 % des cadres supérieurs sont en administration centrale. Notre haute
le recrutement n’ayant
pas suivi les évolutions de la société.
Nous devons revoir en profondeur la manière de construire les parcours de nos
hauts fonctionnaires. De nouvelles voies de recrutement vont permettre de
diversifier les profils. La réforme vise également à renforcer la formation
initiale et continue, notamment en intégrant mieux les apports des sciences
sociales et comportementales, dont la crise en cours a souligné l’importance.
La gestion des carrières va être personnalisée et professionnalisée pour passer
d’une logique statutaire à une approche par métiers, qui conduira à valoriser
pleinement ceux qui mettent en œuvre nos politiques prioritaires dans les
risques.La création de l’Institut national du service public (INSP), qui va succéder à
l’ENA, s’inscrit pleinement dans cette logique. Désormais, tous les hauts
fonctionnaires sortant de l’INSP intégreront le même corps des administrateurs
de l’État et seront envoyés sur le terrain ; plus aucun ne rejoindra
directement les «grands corps» de l’État.
L’accès à ces derniers ne sera
possible que pour celles et ceux qui se seront frottés au terrain, car cette
expérience ne pourra que les enrichir.Il s’agit d’une petite révolution. Et, comme toute réforme, elle suscite des
craintes et des incompréhensions.
Tel a pu être le cas des aspects relatifs à
l’administration préfectorale, alors même que l’intention du gouvernement est
de la conforter. Qui pourrait en effet douter un seul instant de ma volonté
résolue de conforter la légitimité et les capacités d’intervention de ces
femmes et de ces hommes qui se dévouent, souvent sept jours sur sept, et qui
représentent l’État en tous lieux et en toutes circonstances ; moi qui
n’ai jamais cessé de promouvoir les territoires depuis mon entrée en fonction ;
moi qui fus l’un des premiers, à la faveur de ma mission sur le déconfinement
au printemps 2020, à promouvoir le couple «maire-préfet», moi qui ai eu la
chance d’exercer ce passionnant métier au cours de ma carrière?Renforcer le prestige et l’attractivité des fonctions préfectorales, qui ne
sauraient se limiter à des questions de corps et de grade, c’est faire en sorte
que leurs moyens soient accrus, leurs marges de manœuvre élargies et leur
autorité confortée. Et c’est bien ce que nous faisons, en réservant l’essentiel
des créations de postes dans les services départementaux de l’État, en
amplifiant la déconcentration des décisions et des crédits, en renforçant le
caractère interministériel de leurs attributions pour donner toute sa portée à
l’article 72 de la Constitution, aux termes duquel le préfet est le
«représentant de chacun des membres du gouvernement».
Notre intention n’est donc ni de fragiliser, ni de banaliser et encore moins de
politiser la fonction préfectorale, comme certains se plaisent à le faire
croire. Seront nommés demain préfets des hommes et des femmes qui, comme
aujourd’hui, seront choisis pour leurs compétences et leur expérience, forgées
cependant un changement: ils ne seront plus nommés préfets à vie, mais pour la
durée d’exercice de leurs fonctions.
S’il n’y aura plus de corps préfectoral,
il restera plus que jamais une fonction, un métier, un parcours qu’il s’agit de
valoriser pleinement en élargissant ses prérogatives et en améliorant la
gestion individualisée des carrières.Cette réforme s’inscrit dans une stratégie d’ensemble, au service d’un objectif
clair : rendre les politiques publiques menées au service de nos concitoyens à
la fois plus visibles et plus concrètes, assurer la fluidité du commandement de
l’État et le complet respect de son autorité dans tous les territoires de la
République.Tel est le devoir du gouvernement: gérer au mieux cet épisode de crise et en
tirer rapidement toutes les conséquences pour bâtir une France et un État plus
justes, plus forts, plus proches et donc plus efficaces.
Pour cela, je sais
pouvoir compter sur les Français, qui traversent cette épreuve avec courage et
détermination, ainsi que sur l’ensemble des serviteurs de l’État, qui seront
une nouvelle fois à la hauteur de leur tâche.
circulation plus fluide : le réaménagement et l’amélioration du réseau routier
national est essentiel pour les dizaines de millions de nos compatriotes qui
l’empruntent chaque jour.
Jean-Yves Le Drian
(ministre de l’Europe et des Affaires étrangères)
Les contenus terroristes et
l’extrémisme violent n’ont pas leur place en ligne.
Avec l’Appel de
Christchurch, nous agissons pour l’empêcher. Dans le respect de nos valeurs,
d’un internet libre et ouvert. Nos efforts continuent !
Eric Dupond-Moretti
(Garde des Sceaux, ministre de la Justice)
Notre politique de justice de
proximité prend son essor ! Forts du succès des recrutements de 1000 personnels
en décembre pour sanctionner davantage les petites infractions, nous venons de
lancer le recrutement de 1000 personnes en plus pour accélérer les délais de
jugement.
Frédérique Vidal
(ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation)
L’éloignement géographique a trop
longtemps été synonyme de renoncement à la formation. Avec les Campus connectés nous répondons à
un besoin immense des jeunes des petites villes et des zones rurales de se
former près de chez eux.
Amélie de Montchalin
(ministre de la Transformation et de la fonction publique)
Loin de faire des hauts
fonctionnaires des boucs-émissaires, comme le prétendent ceux qui n’ont rien
fait pendant des années, notre réforme vise à rendre notre État plus fort et
plus proche des Français.
Marc Fesneau
citoyenne)
proximité doit être une priorité des politiques régionales. La région doit
proposer une structure d’accompagnement identifiée, pour accompagner les élus
locaux dans la lutte contre la désertification médicale.
paysages, de lutte contre les risques épidémiques et d’éthique de la chasse.
On
doit combiner respect du droit de propriété et préservation de ces espaces
exceptionnels.
Elisabeth Moreno (ministre
chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de
l’égalité des chances)
La reconnaissance des droits et l’accès à l’égalité réelle des personnes
lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres sont un long combat. La
dépénalisation de l’homosexualité en 1982, l’adoption du pacs en 1999 ou encore
l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe en 2013
constituent autant d’étapes emblématiques qui ont jalonné son histoire.
Des
avancées conquises de haute lutte.En toile de fond, il s’est agi de consolider notre démocratie, de la rendre
plus juste et plus égalitaire. Néanmoins, les personnes LGBT+ peuvent encore
trop souvent se sentir à la marge de notre société, discriminées voire
invisibilisées.
Parce qu’elle en déchire l’idéal, cette réalité inacceptable
érode notre pacte républicain.Dans ce contexte, c’est la volonté de tisser les fils d’une société plus
inclusive qui a conduit le candidat Emmanuel Macron à se prononcer en 2017 en
faveur de l’accès à la procréation médicalement assistée pour toutes les
femmes, et ce indépendamment de leur orientation sexuelle ou de leur statut
matrimonial. Cette égalité des rêves et cette égalité des droits ne peuvent
aujourd’hui plus attendre.
Quatorze pays européens ont, à ce jour, adopté la
PMA pour toutes. La France ne peut demeurer à la remorque de cette évolution
sociétale. La situation actuelle conduit de trop nombreuses femmes, célibataires
ou en couples lesbiens, à renoncer à un désir d’enfant ou à prendre des risques
sanitaires, juridiques et psychologiques en réalisant une PMA sans encadrement
médical ou à l’étranger, instaurant ainsi une discrimination financière.
La PMA constitue pourtant une pratique désormais bien ancrée dans notre pays.
Autorisée pour les couples hétérosexuels depuis 1982, elle permet aujourd’hui à
environ un enfant sur trente de voir le jour. Néanmoins, fondée à l’origine sur
un principe d’égalité à donner la vie, elle s’est muée en discrimination.
Le
premier projet de loi bioéthique voté en 1994 en a en effet privé les couples
lesbiens et les femmes célibataires, gravant dans le marbre de la loi une
inégalité. Si le précédent gouvernement s’était engagé à lever cette injustice,
force est de déplorer qu’il a in fine rayé d’un trait de plume cette promesse
de campagne de François Hollande.Le 24 juillet 2019, le nouveau projet de loi relatif à la bioéthique prévoyait
de rétablir l’égalité devant la vie en élargissant la PMA aux couples de femmes
et aux femmes seules.
Si au cours de ses deux lectures l’Assemblée nationale en
a sanctuarisé la mesure phare, le Sénat – dans un réflexe patriarcal pavlovien
– l’a détricoté et, surtout, en a supprimé l’article 1 autorisant l’accès à la
PMA à toutes les femmes. Une triste leçon de conservatisme, révélatrice d’un
impensé ou d’une cécité : la diversification du modèle familial dit
‘traditionnel’ opéré ces dernières décennies à laquelle se conjugue la
dissolution du lien entre biologie et généalogie. En d’autres termes, c’est
l’évolution de notre société que les sénateurs se refusent de voir et
d’embrasser.
Nous exhortons dès lors les députés à voter la loi bioéthique qui sera à
nouveau réexaminée à partir du 7 juin prochain pour, enfin, démocratiser
l’accès à la PMA. Cette promesse du président de la République constitue un
acte d’égalité face à une discrimination qui crée des injustices individuelles.
Un acte d’égalité qui va dans le sens de l’évolution de notre société et répond
à des attentes fortes exprimées par des femmes privées de la possibilité de
fonder une famille.
Acte d’égalité, l’accès de la PMA à toutes les femmes est aussi un acte de
liberté et de fraternité. De liberté, parce qu’il permet à toutes les femmes de
décider de leur maternité. De fraternité, parce que ce droit nouveau n’en ôte
aucun à personne et qu’aujourd’hui deux tiers des Français s’y déclarent
favorables.
Autrement dit, le combat pour l’accès à la PMA pour toutes est un
combat éminemment républicain.
Franck Riester
(ministre chargé du commerce extérieur et de l’attractivité)
sanctionne des personnalités européennes, à commencer par des députés, ne
permet pas d’entériner l’accord.
Néanmoins il apporterait davantage de réciprocité pour que nos entreprises
puissent investir dans de nouveaux secteurs sans être contraintes de s’associer
à un partenaire local ou de transférer leur technologie.
Qui plus est, face à
nos préoccupations en matière de droits de l’Homme, il intégrerait pour la
première fois des engagements de la Chine, notamment en matière de lutte contre
le travail forcé. (…) La Chine s’est engagée, dans cet accord, à ratifier les
conventions fondamentales de l’OIT , et
nous serons intransigeants sur leur mise en œuvre. D’ailleurs, pour s’assurer
du respect de leurs engagements par nos partenaires, l’UE a créé la fonction de
procureur commercial européen, occupée par le Français Denis Redonnet.
Nous avons bien sûr des outils antidumping solides. Nous avons aussi renforcé,
en France et dans l’UE, le dispositif de filtrage des investissements étrangers
pour protéger nos fleurons stratégiques.
Et nous travaillons à un outil
anti-coercition pour répondre rapidement aux agressions économiques que nous
subissons. Par exemple, quand les États-Unis veulent appliquer des droits de
douane unilatéraux et illégaux contre la taxe numérique française, nous n’avons
pas aujourd’hui l’instrument juridique pour riposter et cela doit changer. À
cela s’ajoutent deux autres instruments: l’un pour rétablir des conditions de
concurrence équitable en Europe face aux entreprises étrangères subventionnées,
pour exiger la réciprocité dans l’accès aux marchés publics.
C’est ainsi que
nous bâtissons la politique commerciale européenne du XXIe siècle, qui sera
moins naïve, plus juste et plus durable.
ravis de la nomination de Ngozi Okonjo-Iweala qui va
insuffler une nouvelle dynamique. Une de ses priorités est de refaire fonctionner
l’instance d’appel de l’organe de règlement des différends, bloquée depuis des
mois par les États-Unis.
Il faut aussi des résultats sur des négociations en
cours, en particulier sur les subventions à la pêche : nous soutenons pleinement
L’OMC
a un rôle à jouer sur beaucoup de sujets: l’encadrement des subventions
industrielles, l’accès aux vaccins, mais aussi le développement durable et par
exemple la lutte contre la pollution plastique. Pour cela, il ne faut plus que
des pays comme la Chine puissent se déclarer pays en développement pour obtenir
des exemptions.
mois, annoncé début mars, sur les surtaxes, notamment sur l’aéronautique et les
vins et spiritueux a constitué un signal très positif. Il n’est pas le fruit du
hasard : il résulte de l’affirmation de la souveraineté européenne. En décidant
en novembre d’appliquer des droits de douane sur Boeing et des produits agroalimentaires
américains l’Europe a démontré qu’elle sait se faire respecter dans le cadre du
droit international.
La nouvelle administration américaine dit vouloir refonder
sa relation avec l’Europe. À présent, il faut sortir, définitivement et par le
haut, du contentieux Airbus-Boeing en trouvant un accord sur les financements
aéronautiques. Et il est clair que nous ne renoncerons pas à accompagner Airbus
qui est vital pour notre économie.
Nous avons fait des propositions pour
trouver des solutions et mettre fin à cette guerre commerciale inutile avec les
États-Unis.
mais un grand accord de libre-échange n’est pas à l’ordre du jour. Avant tout,
il faut sortir des différents contentieux qui polluent notre relation, comme
celui sur l’acier et l’aluminium, ou sur les pratiques extraterritoriales
américaines.
Nous ne pouvons pas accepter qu’un allié continue à nous dire avec
qui nous avons le droit de commercer, et interfère directement dans nos choix
souverains. Pour y répondre, nous devons aussi accroître le rôle de l’euro dans
les échanges internationaux.
d’accord UE-Mercosur en l’état.
Car les conditions ne sont pas réunies sur
trois points: déforestation, respect de l’Accord de Paris, de nos normes
sanitaires et phytosanitaires. Nous ne nous contenterons pas d’un engagement
verbal, nous voulons des preuves. Or, nous voyons que les engagements
environnementaux du Brésil sont moins ambitieux qu’en 2015 et qu’ils ont
désarmé dans la lutte contre la déforestation illégale qui a encore progressé
de 10% l’année dernière.
Certains pays de l’UE veulent aller plus vite mais
nous ne sommes pas seuls: les Pays-Bas, la Belgique, l’Autriche, le Luxembourg
sont sur la même ligne.
Ce
dispositif fait partie de l’arsenal qui met la politique commerciale au service
d’objectifs planétaires. Nous allons accélérer la décarbonation de la
production en Europe, et sans ce mécanisme, il y aurait plus de «fuites de
carbone» : les entreprises seraient incitées à délocaliser leur production dans
des pays moins exigeants en émettant davantage de CO2 pour ensuite exporter
leurs produits vers l’UE.
C’est pourquoi nous avons besoin de cet instrument,
qui n’est pas protectionniste ; il en va avant tout de la cohérence de notre
politique climatique. Plus largement, dans les futurs accords commerciaux
européens, le respect de l’accord de Paris sur le climat devra être une clause
essentielle, ce qui permettra de suspendre les avantages consentis à nos
porte cette mesure, très puissante, actuellement en discussion avec nos
Marlène Schiappa
(ministre chargée de la Citoyenneté)
L’argent européen est déjà utile, il aide déjà notre relance.
sur le vaccin, on la critique, moi je la défends. Si des pays européens
n’avaient pas accès aux vaccins, on aurait des mini-Brésil ou des mini-Inde.
Ce
serait très mauvais pour la situation sanitaire française
n’est pas nous qui avons créé l’ambiguïté idéologique (.) Chez les
Républicains, certains sont dans le camp républicain et d’autres sont dans le
camp de la honte et préfèrent le Rassemblement national.
demande leurs suffrages aux Français, il faut être honnête et cohérent.
quotidienne, comme aller au café ou au restaurant. Ce ne sera pas notre sésame
du quotidien. Il donnera accès aux voyages et aux grands rassemblements.
sanitaire renforcée, tous les Etats de l’UE devront
appliquer les mêmes restrictions dans les 48h.
Nathalie Elimas
(secrétaire d’Etat chargée de l’Education prioritaire)
cohésion sociale une démographie dynamique politique
familiale volontariste.
des élèves : c’est l’esprit des Territoires
éducatifs ruraux.
Sarah El Hairy (secrétaire
d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement)
Nous, adultes, devons former un bouclier pour protéger les
enfants de l’hyper violence : parents, responsables des plateformes réseaux sociaux,
éducateurs, force de l’ordre, gouvernants. Tous un rôle à jouer.
Adrien Taquet
(secrétaire d’Etat chargé de l’Enfance et des Familles)
Les pères d’enfants nés à partir du
Heureux de la parution cette semaine du décret précisant les modalités, c’est
une avancée importante, dont nous pouvons être fiers !
Plan
François Bayrou
(Commissaire, président du Mouvement démocrate)
Christophe
Castaner (président du groupe à l’Assemblée nationale)
choix du dépassement politique. Peu importe si une bonne idée est de droite ou
de gauche ! Nous continuons à transformer le pays. C’est cela notre boussole,
mais ce n’est pas de notre faute si Les républicains sont faibles !
Nous nous étions engagés : nous le faisons !
l’argent public. A part pour cumuler des indemnités, Marine Le Pen est très
mauvaise comptable. Elle a mis en faillite son parti, le fait financer par
l’étranger, et elle voudrait gérer le pays?
Aurore Bergé (présidente déléguée du groupe à l’Assemblée nationale)
infréquentable que l’extrême droite.
D’Alain Juppé à Nicolas Sarkozy, la ligne
rouge était claire et tenue. Elle craque partout désormais. En Bourgogne, en
Grand Est, en PACA et avec certains de ses principaux dirigeants.
tenu. 20 millions de Français ont reçu au moins une dose de vaccin. Merci au
personnel médical et administratif, aux services de l’Etat, aux élus locaux,
aux bénévoles.
● MoDem
Jean-Noël Barrot
(secrétaire général)
20 millions de vaccinés. Engagement tenu.
● Organisations
centristes
♦ Renaissance (Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Nathalie Loiseau
personnalités publiques capables de reconnaître leurs erreurs, j’ai
l’impression qu’on respirerait mieux.
J’observe que ce sont souvent les femmes
qui le font, pas toutes mais enfin, plus souvent que les hommes, et pourtant
elles sont moins nombreuses.
à tous les soignants et tous les bénévoles mobilisés.
Et merci aussi à l’Union
européenne : elle a démarré tardivement, avec beaucoup de précautions, mais la
stratégie vaccinale de l’Union européenne tient la route et n’oublie personne.