Mais à la maison je n’en faisais jamais assez alors que j’assurais presque tout moi-même «J’étais sous emprise. Elle était très forte pour trouver le truc qui ne va pas, m’avait isolé aussi des autres, je ne voyais plus ma mère. Tous les curseurs dans ma tête étaient déréglés, je ne savais plus où était le bien ou le mal, j’étais décalibré. Je me sentais coupable de m’être laissé battre par ma femme et d’avoir laissé s’installer cette violence dans notre couple.» Le Fribourgeois se décrit comme «un gentil manipulable». Il a suivi une thérapie et un stage d’affirmation de soi. «Depuis, j’ai un gyrophare dans la tête qui s’allume dès que je détecte une tentative de manipulation chez la personne en face de moi.»