Hypothses sur la structure et la mcanique de l'Univers


 

Depuis l’avènement de la mécanique quantique il y a plus d’un siècle, la Science semble buter contre un plafond de verre. Nous disposons de deux grands modèles physiques, qui décrivent chacun « leur » monde, mais nous n’arrivons pas à les emboîter, de manière à en faire ressortir une théorie du Tout satisfaisante.

Si nous ne parvenons pas à franchir ce plafond de verre, c’est peut-être notamment parce que les implications de la physique quantique sont si bouleversantes, qu’on ne les a toujours pas réellement comprises. Comme le disait Richard Feynman  : « Si vous croyez comprendre la mécanique quantique, c’est que vous ne la comprenez pas ».

Cette physique est de très loin celle dont les calculs théoriques sont les plus proches des résultats expérimentaux, avec une précision de l’ordre de 99,999 %. Et pourtant, on ne comprend pas pourquoi les particules quantiques agissent ainsi. Il y a nombre de paradoxes et de mystères quantiques qui semblent encore loin d’être résolus.

Forcément, depuis le temps que les scientifiques travaillent là-dessus, il y a une myriade d’hypothèses et de théories qui tentent d’expliquer ces phénomènes. Mais apparemment, aucun de ces travaux n’a fait preuve d’une validation scientifique consensuelle. Et je crois qu’il y a une raison principale à cela  : la Méthode Scientifique. Bien établie et redoutablement efficace pour comprendre le monde matériel, elle ne peut cependant s’appliquer que sur les objets de son champ d’étude, dans un cadre matérialiste. Et la physique quantique semble aller au-delà du matériel. La méthode scientifique matérialiste ne peut donc pas explorer convenablement ces zones d’ombre.

 

Il serait alors peut-être temps de faire évoluer notre méthode scientifique. Lui donner des outils pour pouvoir explorer l’au-delà de la matière. Il faudrait réussir à penser « en dehors du cadre ». Certes, la politique et l’idéologie ne sont peut-être pas étrangères à ce sur-place qui dure depuis bien trop longtemps déjà. mais là n’est pas la question.

 

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Je ne suis pas scientifique, j’ai arrêté les cours en 1ère. Mais ça me passionne, et j’ai passé beaucoup de temps à regarder des vidéos de vulgarisation scientifique. Il y a 5 ans, après m’être penché sur la cosmologie bi-métrique « Janus » de Jean-Pierre Petit, et en l’adaptant à ma compréhension et à mes connaissances, j’ai eu l’impression d’obtenir une représentation universelle cohérente.

 

Forcément, n’ayant pas les bagages scientifiques universitaires, je ne comprends que ce que mon cerveau veut bien comprendre. Que ce soit pour les théories scientifiques bien admises, la physique quantique, et pour Janus, il est fort possible que j’ai tout compris et interprété de travers, en utilisant la paréidolie afin que ça colle avec mon système de croyance. Cependant, j’ai quand même le sentiment que la représentation universelle que j’ai en tête est cohérente, élégante, et qu’elle semble répondre à une bonne partie des paradoxes quantiques, ainsi qu’aux mystères de la gravité, de la matière noire et de l’énergie sombre.

Alors, je suis tout à fait conscient de pouvoir me tromper sur toute la ligne, d’être ridicule en tentant de vous présenter cette théorie. Si tel est le cas, je vous demande pardon pour la perte de temps occasionnée  ! Mais ce n’est pas parce que je ne suis pas légitime à publier une théorie cosmologique digne de ce nom que je dois m’abstenir de vous faire part de mes idées. Car si, par miracle, il y avait ne serait-ce qu’un aspect de ma vision qui puisse provoquer un déblocage quelque part, alors ça vaudrait largement le coup.

Bien sûr, depuis 5 ans que j’ai ces hypothèses en tête, j’en ai parlé à droite à gauche pour les confronter. Parfois on m’a dit que c’était sympa, d’autres fois on m’a dit que c’était totalement bidon. Mais on n’a pas su m’expliquer pourquoi, ou en tout cas, je n’ai pas les bagages pour comprendre les réponses qu’on m’a fournies.

Quoi qu’il en soit, je dois partager ça avec vous, même si ça semble ridicule. Je dois être fixé là-dessus. Plus le temps passe, plus j’y pense, et plus ça me brûle de ne pas en écrire un article.

 

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Toujours en préparant le terrain  : une des nombreuses forces de la Science, c’est que lorsqu’on fait des erreurs, on la fait quand même avancer. Si vous réussissez à me faire comprendre que mes hypothèses sont délirantes, moi, ça me fera grandement avancer (et peut-être qu’à d’autres aussi ?). Lorsqu’on confronte deux idées contradictoires, l’idée qui gagne s’en trouve grandie (comme un gain d’expérience), et les défenseurs de l’idée perdante peuvent enfin passer à autre chose, et changer de cap.

 

Aussi  : plus notre Science évolue, plus elle semble se complexifier. Mais lorsqu’on regarde l’Univers, on s’aperçoit qu’il a une structure fractale  : il montre de grandes similarités entre ses différentes échelles. Alors, il devrait y avoir des moyens de simplifier nos théories. Ou plutôt  : l’Univers serait censé pouvoir être décrit par des équations réduites au maximum. C’est donc en ayant cette croyance en tête que j’ai privilégié des hypothèses simples (et aussi, bien sûr, parce que je n’ai pas les bagages pour jouer avec les hypothèses compliquées).

 

Pour finir cette introduction  : avec ma version modifiée de Janus et tout ce que je raconte à côté, je ne veux pas porter préjudice aux travaux de JPP, ou lui faire de la mauvaise pub. Il est un scientifique sérieux, et moi un rêveur qui procrastine. Peut-être que l’avenir nous prouvera que JPP se trompe totalement (comme le répètent inlassablement ses détracteurs), mais ce qui m’apparaît certain, c’est que ses intentions sont louables, qu’il cherche réellement à faire avancer la Science, et à la vulgariser au plus grand nombre. Un grand merci à lui, et à tous ceux qui sont animés des mêmes intentions.

 

 

À propos de la structure de l’Univers  :

 

Notre Univers+ est composé de matière en mouvement, d’où résulte l’espace et le temps, la gravité et la loi de causalité. De par l’apparition de cet univers lors d’une explosion (le Big Bang), l’Univers+, et donc l’espace-temps, sont en expansion.

Si l’on considère que la matière et son mouvement sont les résultantes de la polarisation positive de la masse et de l’énergie de l’Univers+, alors on pourrait concevoir qu’un Univers- n’aurait pas de matière, ni de mouvement. Donc pas d’espace ni de temps. Ce serait une singularité, d’une masse équivalente à notre Univers+, mais une masse polarisée négativement. Puisque la densité dépasserait très largement le rayon de Schwarzschild, ce serait un trou noir.

 

L’univers serait donc un espace non-Euclidien, où chaque recoin et particule de notre Univers+ matériel, seraient couplés à une singularité, un trou noir. Un endroit où la matière y est sous forme potentielle, non-exprimée (c’est à dire, l’antimatière), et où la lumière y est immobile (donc, partout à la foi, sans direction, « ne formant qu’Un »).

 

 

Concernant la mécanique quantique  :

 

Imaginer une telle structure universelle permettrait de comprendre le mystère de l’intrication quantique  : de part le couplage de ces deux univers, cela impliquerait que toutes les particules de notre Univers+ seraient connectées entre elles, instantanément, car l’information passant d’un point A à un point B, n’a aucune distance à parcourir, de par la nature de singularité de l’Univers-. Selon cette idée, chaque particule, étant connectée à toutes les autres, en contiendrait toutes les informations.

La physique quantique serait l’interface entre nos deux univers. Les particules qu’on étudie sous forme quantique seraient neutres, entre deux mondes aux lois totalement différentes  : d’où l’incertitude de la mesure. Lorsqu’on mesure une particule, elle se polarise positivement, et donc elle se « fixe » à notre monde matériel, d’où l’effondrement de la fonction d’onde. Plus une particule quantique entre en interaction avec des particules « matérielles » (non étudiées, mais présentes, polarisées +), plus la décohérence quantique est grande. Jusqu’à la dite décohérence, l’observation ou la mesure, le moment où la particule quantique devient « fixée », c’est à dire lorsqu’elle devient polarisée positivement  : elle se matérialise dans notre Univers+.

Ce couplage entre les deux univers expliquerait peut-être aussi les similarités entre les formes des fonctions d’onde et les figures décrites dans les expériences de cymatique  : dans les deux cas, l’un microscopique, l’autre macroscopique, on a des particules en vibration qui forment des figures géométriques plus ou moins comparables.

 

Aussi, ce couplage universel pourrait permettre de mieux comprendre la nature des phénomènes étranges liés aux très basses températures. Celle de l’Univers- serait nulle, donc au zéro absolu (-273,15°C), puisque l’énergie y est négative  : pas de matière, pas de mouvement, donc pas d’excitation moléculaire = température nulle. Un objet physique de notre Univers+, en avoisinant le zéro absolu, acquerrait des propriétés « mixtes »  : il tendrait à se comporter localement comme un objet quantique, donc « sans espace, sans temps ». D’où la supraconductivité, par exemple.

 

La gravitation n’interviendrait pas dans le domaine quantique, justement car elle serait la résultante naturelle du mouvement des objets macroscopiques. Elle serait l’équivalent macroscopique de l’interaction électromagnétique. Je développerai l’idée un peu plus loin.

Enfin, je vais éviter de parler d’autres paradoxes quantiques, pour ne pas rendre cet article plus indigeste qu’il ne l’est déjà. Mais si vous essayez de faire les expériences de pensée qu’induit cette hypothèse de cosmologie bi-métrique, vous verrez peut-être, comme moi, que ça peut apporter des éléments de réponses aux autres mystères quantiques, notamment. 

 

Au sujet de la gravité  :

 

A l’heure actuelle, on n’a pas encore bien compris comment fonctionnait la gravité. On n’a pas trouvé de « boson gravitationnel », on ne comprend pas réellement le mécanisme qui fait que les corps massifs s’attirent.

 

Or, on a remarqué depuis fort longtemps qu’il y a une grande similarité entre la Loi de Coulomb, qui décrit les interactions électromagnétiques, et la Loi de l’attraction universelle de Newton, qui décrit les interactions gravitationnelles entre les astres dans des conditions « standard » (lorsque le champ gravitationnel devient trop important, par exemple, il faut utiliser la Relativité Générale d’Einstein).

 

Il y a peut-être quelque chose à creuser  : et si les lois de Coulomb et de Newton décrivaient la même interaction, mais sous des échelles différentes ? Et si cette différence d’échelle était responsable de la nature opposée de l’interaction ?Les photons, étant les bosons de jauge de l’interaction électromagnétique, ne pourraient-ils pas être aussi les bosons de jauge de l’interaction gravitationnelle ?

D’après E=MC2, toute masse de notre Univers+ a une énergie, ou plutôt, c’est une énergie. Peut-être que cette énergie provoquerait le rayonnement de particules virtuelles, les bosons de jauge que sont les photons, et que ce rayonnement serait responsable de l’attraction gravitationnelle. On comprendrait pourquoi on n’a pas observé ces rayonnements jusque-là, car ils seraient « noyés » dans la soupe de photons dans laquelle on baigne.

 

De part l’expansion de l’espace-temps, tous les objets de notre Univers+ sont en mouvement. L’immobilité absolue n’existe pas, dans cet univers matériel. Puisque masse = énergie, et que cette énergie peut se traduire sous forme d’un champ électrique, alors tous les corps naturellement en mouvement pourraient émettre des ondes électromagnétiques, dont l’intensité dépendrait de la masse.

Selon la loi de Coulomb, des corps chargés électriquement, de même polarité, se repoussent. C’est un phénomène microscopique, à l’échelle quantique. Pourrait-on imaginer qu’en changeant d’échelle, les corps massifs, chargés électriquement et de même polarité, s’attireraient, au lieu de se repousser ?

 

Si dans le monde quantique, deux charges de même polarité se repoussent, peut-être que dans le monde macroscopique, deux charges de même polarité s’attirent.La gravitation pourrait être l’équivalent macroscopique de l’électromagnétisme.

Si cette hypothèse est pertinente, alors on pourrait imaginer qu’un « réacteur de photons d’énergie négative » pourrait permettre d’inverser localement la force gravitationnelle… Faut bien rêver un peu  !

 

 

Sur la matière noire et l’énergie sombre  :

 

Ces deux hypothèses cosmologiques ont été créées pour combler le fossé entre la théorie de la Relativité Générale d’Einstein, communément admise pour décrire les interactions gravitationnelles de notre univers physique à grande échelle, et les observations contradictoires faites depuis des décennies.

 

La matière noire répond à l’anomalie gravitationnelle qui maintient la cohésion des galaxies, et l’énergie sombre répond au mystère de l’accélération de l’expansion de l’Univers.Mais aucune de ces hypothétiques matières / énergies n’a encore été observée, et on ne sait toujours pas si elles existent. Pourtant, la recherche scientifique a été fortement subventionnée pour essayer de les trouver…

 

Mais peut-être qu’elles n’existent tout simplement pas ? Et peut-être que la Relativité Générale permet déjà de résoudre ces mystères  : selon Einstein, plus la gravité est forte, plus le temps passe lentement. Voir le film Interstellar, notamment, qui vulgarise bien cet effet relativiste  : la gravité locale de la planète Miller, aux portes du trou noir Gargantua, y est si élevée que l’écoulement d’une heure locale correspond à l’écoulement de 7 années sur Terre.

 

Or, si l’on considère que la force gravitationnelle influe sur l’écoulement local du temps, alors on pourrait comprendre pourquoi les galaxies conservent leur cohésion  : plus on s’approche du centre, plus la force gravitationnelle locale de l’espace-temps y est importante, et donc, plus le temps s’écoule lentement.Si l’on se place au centre d’une galaxie, et qu’on observe les étoiles en bordure, elles se déplaceront plus vite à nos yeux. Et inversement  : si l’on se positionne en bordure d’une galaxie, on verra le centre tourner plus lentement. Et si l’on observe une galaxie depuis l’extérieur, le résultat sera le même  : les bras, peu chargés gravitationnellement, se déplaceront plus vite que le centre.

 

On peut faire la même expérience de pensée pour expliquer l’accélération de l’expansion de l’Univers  : puisque le temps s’écoule plus vite dans un endroit « vide » (et l’espace est rempli de vide), un observateur se tenant dans un champ gravitationnel conséquent (comme c’est le cas sur la Terre, qui orbite autour d’une étoile, au sein d’une galaxie), verra une accélération dans l’écoulement du temps des zones moins chargées gravitationnellement. Il aura l’impression que les objets lointains s’éloignent plus vite.

 

Voir l’image d’une corde que l’on tend  : cette corde est élastique sur la majorité de sa longueur (correspondant au vide de l’Univers), mais possède plein de zones ponctuelles non-élastiques. Si l’on observe depuis une zone non-élastique (comme depuis la Terre), on voit que les objets les plus lointains s’éloignent plus vite, proportionnellement, que les objets voisins. Inversement, si l’on était dans un endroit vide (« élastique »), ne verrait-on pas la vitesse d’expansion des objets lointains diminuer ? Puisque notre temps relatif défile plus rapidement que celui des zones ponctuelles…

On pourrait peut-être vérifier une telle hypothèse en envoyant un télescope le plus loin possible du Soleil  : ses observations devraient différer des nôtres, de par le différentiel gravitationnel qu’il y aurait entre nos deux points de vue.

 

 

Quant à la théorie du Multivers  :

 

Toujours pour coller avec la théorie exposée dans Interstellar, qui, semble t-il, tient relativement la route scientifiquement (même si ça reste de la SF). et donc pour coller aussi avec l’idée que notre Univers serait divisé en une « infinité » de dimensions, on pourrait imaginer que cette multitude d’Univers+ se déroulent en même temps, au même endroit, et sont tous couplés à un seul et même Univers-, qui leur servirait de socle universel, et d’interface entre les dimensions.

ils sont tous exprimés en même temps, à chaque instant, par des particules virtuelles. Chaque dimension ne verrait que sa propre réalité, alors que parallèlement à ça, une infinité d’autre se déroulerait, au même endroit, même moment, mais sous une « fréquence » ou « potentialité » ou un je-ne-sais-quoi, différent. À chaque recoin de notre univers, il y aurait une infinité de potentialités exprimées, mais notre dimension ne permettrait d’en « fixer » qu’une seule. Et encore heureux, sinon, rien ne pourrait exister…

 

Et donc, ceci expliquerait la superposition quantique  : les particules que l’on étudie (qui sont à l’état neutres, puisque dans l’interface quantique) sont une superposition de deux états minimum (jusqu’à une infinité d’états, potentiellement)  : chacune de ces positions statistiques s’exprimerait réellement, dans chacune des dimensions correspondantes. Et lorsqu’on observe la particule, ou qu’on la laisse se faire influencer par les autres particules présentes, la fonction d’onde s’effondre, et elle se fixe dans notre matière, en se polarisant positivement (décohérence quantique). Ça ne supprimerait pas la particule dans toutes les autres dimensions, par contre, la statistique positionnelle correspondant à notre dimension disparaîtrait de leurs superpositions quantiques.

 

Du coup, cela permettrait à chaque dimension d’évoluer de manière optimale, vivant forcément sa « meilleure réalisation possible »  : toutes les dimensions s’influenceraient positivement. Elles se « tirent vers le haut ». C’est la vision proposée par le film Interstellar, si j’ai bien compris. 

 

Enfin, pour faire fuir les lecteurs rationnels qui ont tenu jusque-là  :

 

Je dois vous parler d’un domaine que la Science moderne réprouve totalement  : l’Alchimie.

 

Les cerveaux rationnels scientifiques croient que l’Alchimie, c’est du vent, des superstitions d’un autre temps, une relique de l’obscurantisme des époques lointaines. Certes, c’est peut-être le cas, et ceux qui y croient sont peut-être des idiots à qui l’on fait avaler des couleuvres… mais.Et si c’était l’inverse ? Et si l’Alchimie décrivait réellement les structures et mécaniques de l’univers, mais que nous ne pouvions pas le comprendre jusqu’à présent ?

 

Au début de cet article, je vous ai raconté avoir imaginé cette vision de l’univers après avoir découvert la théorie Janus de JPP début 2018. En fait, lors des mois qui suivirent, je n’y pensais pas trop. Mais parallèlement à ça, étant curieux de la spiritualité et de la métaphysique, je me suis un peu plus penché sur l’Alchimie.

 

Vers fin 2018, en réfléchissant à ce que je croyais comprendre de l’Alchimie, j’ai essayé de l’adapter à ce que je croyais comprendre de Janus. Et c’est là que j’ai obtenu cette nouvelle compréhension, que j’essaye de vous décrire avec cet article. C’est là que j’ai vu que… tout semblait s’emboîter à la perfection. Du moins, selon la représentation et la compréhension que j’en ai  !

(Et là, je m’excuse d’avance auprès des « vrais » alchimistes, car il est probable que je déforme, ou même dénature totalement leur Science. Je compte sur eux, autant que sur les Scientifiques matérialistes, pour me corriger et me faire avancer  ! )

En Alchimie, il y a 3 principes fondamentaux  : le Soufre, le Mercure et le Sel.En essayant de vous résumer au mieux ce que j’ai interprété de mes lectures alchimiques  :

 

  • Le Soufre serait un principe mâle et actif. Ce serait une lumière subtile, de vitesse et d’énergie infinie, indifférenciée, sans orientation.
  • Le Mercure serait un principe féminin et passif. Il correspondrait à une sorte de « contenant », un potentiel intangible, en état de « vacuité », non-exprimé.
  • Le Sel serait l’union du Soufre et du Mercure. Il correspondrait à la stabilisation matérialisée de ces deux principes.
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    On peut donc constater une belle correspondance entre l’Alchimie et ma théorie  :

     

    L’Univers+, constitué de matière en mouvement, serait donc le royaume du Sel. 

    L’Univers-, un trou noir où la densité y est trop forte pour que la matière y soit exprimée, serait le berceau de l’antimatière  : le potentiel intangible, le Mercure.

    Dans ce trou noir, la lumière y serait de vitesse infinie, indifférenciée, sans orientation. Une lumière plus subtile que celle qui parcourt notre Univers+. Ce serait le Soufre.On aurait donc le Soufre, énergie primaire indifférenciée, qui, combiné au Mercure, principe potentiel négatif, deviendrait du Sel, la matière baryonique de notre Univers+. 

    Ce qui revient à dire que notre matière physique (Sel), c’est de l’antimatière (Mercure) polarisée positivement, soutenue par une énergie primaire subtile (Soufre).

     

    Enfin, en y réfléchissant avec ce regard, et en observant l’état de science contemporaine, la transmutation alchimique semble être une loi concrète de ce monde  : lorsqu’on déploie l’énergie nécessaire dans un accélérateur de particules, par exemple, des particules peuvent être issues « du néant », et se matérialiser dans notre Univers+.

     

    Puisque masse = énergie (E=MC2), en polarisant négativement de l’énergie positive, on ferait apparaître de la matière (et donc de la masse), et réciproquement, en polarisant négativement de la matière, on augmenterait l’énergie de notre système. La masse et l’énergie des univers couplés resteraient donc toujours équivalentes, mais la physique quantique et la gravité permettraient d’en faire des vases communiquants.

     

    Voilà pour l’essentiel.

     

    Toutes ces hypothèses sont spéculatives, ça coule de source. J’ai conscience que du point de vue scientifique, ça ne vaut pas un clou… Mais ça n’invalide pas forcément l’idée qu’il y a en dessous… Même s’il n’y avait qu’un soupçon de vrai dans ces hypothèses, ça vaudrait le coup de les partager avec vous. Et si tout est faux, et bien, tant pis, no regrets, j’étais obligé d’essayer  !

    alors mes prochains articles devraient vous interloquer. 

     

     

    Yin-Yang  : J’ai illustré mon article par ce symbole universellement connu, car je trouve qu’il représente remarquablement bien ma théorie  :

    On a une forme de base, le Yin, en noir  : le principe féminin, l’obscurité. Cela décrirait l’antimatière, le Mercure.Cette forme se complète avec le Yang, en blanc  : principe masculin, la lumière, qui correspondrait à la lumière de l’Univers-, c’est à dire le Soufre.

    L’un et l’autre, symétriques et complémentaires, forment le Tout  : l’union du Soufre et du Mercure, c’est à dire la matière de notre Univers+, le Sel.Et il y a deux points, symétriques et complémentaires là aussi  : ils symboliseraient les « interfaces » que sont la physique quantique et la gravité. Ces deux fenêtres qui permettent d’apprivoiser la nature de l’autre monde, et ainsi de mieux comprendre celui dans lequel on évolue.