strong class= »sc-805sph-0 jBYGGo »>UN PÈRE ABSENT QUI CHOISIT SA CARRIÈRE : « JE N’ÉTAIS PAS SOUVENT LÀ POUR VOIR MES ENFANTS »Thierry Ardisson a trois enfants : Manon, Ninon et Gaston, tous issus de son mariage avec Béatrice Ardisson.
Il n’a pas été un père très présent, car il a choisi de privilégier sa carrière professionnelle. Avec du recul, il regrette désormais ce choix. Lors d’un entretien accordé au magazine Valeur actuelles en 2019, l’ancien animateur a confié ceci :
« Cela restera un manque (…) Je n’étais pas souvent là pour voir mes enfants gambader quand ils sont âgés de 2 ou 3 ans, ça doit être agréable (…) Je le regrette ».
C’est en grande partie à cause de sa carrière qu’il n’a pas pu être présent aux côtés de ses enfants :
« Je ne crois pas qu’on puisse être une vedette et avoir une vie normale. »
Thierry Ardisson a désormais beaucoup plus de temps à consacrer à sa famille il s’était confié au Journal du dimanche. Parlant de ses activités, de son salaire et de la manière dont il voit l’avenir, il avait indiqué gagner « entre 15 000 et 20 000 euros par mois ».
« Si je fais trop de télé au détriment d’activités plus nobles, c’est que je suis vénal, j’aime l’argent (…) Être vieux, c’est chiant, mais être vieux et pauvre, c’est pire ».
THIERRY ARDISSON LICENCIÉ EN DEUX JOURS, A TOUCHÉ 800.000 EUROS D’INDEMNITÉSSur le plan privé, le mythique animateur est heureux dans son couple avec Audrey Crespo-Mara. Pour ce qui est de ses finances, il n’a pas de quoi s’inquiéter, même comme il aurait souhaité avoir un compte bancaire beaucoup plus fourni :
« J’ai de quoi vivre quand ça va mal »,
il a été licencié par le groupe Canal +. Ayant poursuivi son ancien employeur devant les tribunaux, il l’avait forcé à lui verser la somme de 800 000 euros sur les 6,8 millions d’euros qu’il réclamait pour rupture abusive et brutale de contrat.
Il estimait que la somme qu’il a finalement perçue était insuffisante par rapport à ce qu’il a subi comme préjudice :
« Ils m’ont viré en deux jours. Alors que c’est moi qu’on envoyait quand il y avait des déjeuners avec les annonceurs. Pas Leymergie, ni Hanouna ».
il continue de travailler. Vous l’avez peut-être déjà deviné, c’est par passion, mais aussi pour des raisons financières. Il a répondu à cette question :
« Après trente-cinq ans à la télé, j’ai de quoi vivre quand ça va mal.
Mais il faut que je continue à travailler. Je n’ai pas fait fortune. J’aurais été plus riche si j’avais vendu ma boîte à Endemol, comme Fogiel ou Karl Zéro.
J’ai toujours privilégié ma liberté »,
et de grands noms sont encore au programme ; on peut citer comme exemples François Mitterrand, Marlene Dietrich, Coluche, Lady Diana, Dalida ou encore Jean Gabin.