D’où vient votre passion pour les films et le cinéma ?Dès tout petit, j’ai vite été un grand fan de sagas telle que « Le seigneur des anneaux », « Star wars » ou « Harry Potter ».A cet âge-là je ne comprenais pas bien encore tous les enjeux par rapport aux personnages, ni même simplement les intrigues, puis j’ai pris plaisir à redécouvrir ou comprendre des choses à mesures des visionnages.A l’instar du jeux vidéo, pour moi, le cinéma est l’un des arts avec le plus d’outils d’expression.Pour ce qui est du lieu en lui même, l’immersion se veut plus facile par la taille de son écran et pour sa qualité de son. Ce qui reste un must have, et c’est aussi l’occasion d’être autour de gens passionnés.
Pouvez-vous nous présenter votre court métrage La trilogie de l’ouroboros ?La trilogie de l’ouroboros est un recueil d’histoires, qui pourrait s’inspirer en partie de ma vie, en incluant du drame et une touche d’épouvante.3 courts métrages, que j’avais fait plutôt dans ma vie avec des volontés différentes, ce sont retrouvés avec le recul, avoir des échos intéressants.Il en est alors sorti rapidement le cœur du thème : « Ouroboros ». Ce qui m’a aiguillé pour les rajouts de plans et de sons, le nouveau rythme des différents projets (déjà existants), et quelques autres aspects au niveau de l’image pour souligner le lien qui les réunis.
Comment travaillez-vous l’écriture de vos scénarios et d’où viennent vos inspirations ?J’ai toujours aussi bien lu tout de sorte de livres (bd, mangas, roman, poésie.) et regardé toutes sortes de programmes (films, séries, animations.). Au-delà de ces différents supports, j’ai toujours aimé les histoires et j’aime toujours en apprendre des nouvelles.Mes trois premiers scénarios ont été créé presque par hasard, j’avais une idée persistante et j’ai essayé de lui donner forme.
Quels ont été vos choix pour la mise en scène de La trilogie de l’ouroboros ?Je voulais dans un premier temps appuyer les thématiques de mes histoires. Ensuite je voulais que le personnage central (dont on ignore l’identité), dans « Moi Aussi », ait une place plus importante dans l’intégralité de la trilogie. Enfin j’ai conçu une mise en scène avec des Tvs pour mettre en abîme le tout et m’en servir d’introduction.
En quoi vos études dans l’art du spectacle vous aident dans la réalisation de vos courts métrages ?Elles m’ont permises d’avoir plus de connaissances et de culture sur le sujet, pour ensuite mieux les exploiter. Que peut-on savoir des lieux où vous avez tourné ?Principalement dans le bassin de Longwy, Lexy ou Mont-Saint-Martin. J’y ai habité et y habite encore, et l’on y trouve des coins vraiment sympas.
Vallera Mario et Fabre Emilie.Ils ont d’abord travaillé avec ce que j’avais déjà fait à l’époque, des musiques non libres de droits mais parfait pour l’exercice. Je suis assez fière de la bande son, car au-delà d’avoir réussi à très bien habiller l’histoire et les images, elle, a donné une force supplémentaire et ce dès le montage. Avec quel matériel filmez-vous et souhaitez-vous nous parler du montage de vos vidéos ?Au début je prenais des images avec ce que je te trouvais à la maison, puis à la suite j’ai pu louer du matériel.J’ai eu la chance d’avoir des amis qui me suivait dans mes délires ou voulaient simplement s’essayait à faire de l’acting (même si c’était beaucoup de rigolade et d’improvisation), les cadrages et les mises en scène n’en restaient pas moins mûrement réfléchis. Souhaitez-vous nous dire quelques mots sur le court métrage En attendant la suite.J’avais vraiment besoin de m’exprimais sur ce que je ressentais à l’époque sans trop savoir réellement comment l’évoquer. Il a failli être un projet 2 fois plus dense, mais j’avais décidé de garder l’essentiel et de l’amputer de plusieurs parties.
Ainsi que sur A 100 à l’heure ?C’est mon premier court métrage, ce qui a été un exercice stimulant et enrichissant. C’était ma dernière année de Lycée à l’époque, et je me posais des questions sur notre rythme de vie respectif. Ce que ça dit de nous ou pourquoi on l’accepte si simplement. Le reste s’est fait assez naturellement, je m’étais déjà posé des questions en filmant des images ou en faisant du montage pour me divertir.
Quels vont être vos futurs projets de courts métrages ?J’ai un projet mêlant le genre du polar et celui de la SF, qui devrait être assez pertinent et qui est à un bon stade d’écriture à ce jour. Que souhaitez-vous dire pour terminer ?Que chacun continue de cultiver sa curiosité et de partager ce qui le passionne.Merci de m’avoir lu.
Merci à Zarkdolg d’avoir répondu à notre interview !