NSO Group n'était pas le seul à avoir une clef pour entrer dans les iPhone


Elle les mettait également à disposition de gouvernements étrangers.

sans qu’aucune action des victimes ne soit nécessaire à part de recevoir un message infecté. Les deux techniques étaient à ce point proches que les correctifs d’Apple distribués en septembre les ont rendu simultanément inopérantes.

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notant simplement que ce milieu du cyberespionnage offensif ne cessait de croître. L’agence de presse n’a pu obtenir de déclaration de QuaDream, lequel se garde par ailleurs d’une présence trop visible en ligne.

Leur outil documents ou listes de contacts. D’après une documentation de 2019/2020, la version la plus sophistiquée du spyware savait enregistrer en temps réel des appels, prendre le contrôle des différentes caméras avant et arrière et du microphone.

Contactée par l’agence de presse, Apple n’a pas répondu à la question de savoir si elle entendait agir contre cet autre développeur de spywares qui tire bénéfice de failles dans ses produits. Fin novembre, après les preuves fournies par Amnesty et du Citizen Lab sur l’implication de NSO dans la création de Pegasus, Apple avait attaqué la société israélienne en justice.

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