La stratégie climat de TotalEnergies validée, malgré les tentatives de blocage


via les énergies renouvelables, a-t-il déclaré, ajoutant qu’il ne peut pour autant réduire son activité pétrolière. « La demande de pétrole au niveau mondial est en croissance et si ce n’est pas TotalEnergies qui répond à cette demande, d’autres le feront à notre place », a-t-il encore dit, répondant aux « grincheux qui nous accusent de greenwashing ».Le PDG avait ouvert comme prévu, à 10 heures, l’assemblée annuelle, tenue avec mille précautions sécuritaires  : vigiles, barrières, cars de police… et à l’intérieur des plaques en plexiglas pour séparer la scène du public.

«  Ce qu’on veut, c’est renverser Total. »

La gendarmerie distribue les coups de matraque/blockquote>

La stratégie climat de TotalEnergies validée, malgré les tentatives de blocage

�� Blocage de l’AG de Total par des militants écologistes.Une centaine de militants et intervention des gendarmes. Gaz lacrymogène.

Une série d’AG sous tension

strong comment= »strong »Le groupe français est présent dans de nombreux projets de gaz naturel liquéfié et de pétrole, aux Émirats arabes unis, en Irak, en Papouasie ou encore en Ouganda, avec le projet controversé de l’oléoduc chauffé Eacop devenu un symbole médiatisé de la lutte antipétrole.Cette polémique s’ajoute à bien d’autres pour la major, critiquée pour son bénéfice record de 20,5 milliards de dollars (19,12 milliards d’euros) en 2022, le montant de ses impôts payés en France ou le salaire de son patron. Une hausse de 10 % de la rémunération du PDG pour 2023 a d’ailleurs été adoptée par l’AG.