Aucune charité ne vaut la peine de défendre les oligarques de Poutine

Mais maintenant que le Royaume-Uni a annoncé qu'il gelait tous les avoirs d'Abramovich et lui imposait une interdiction de voyager activiste juif et auteur de Vivre au pays des cendres Konstanty Gebert à propos du lobbying de Yad Vashem contre les sanctions leurs noms ne devraient pas figurer sur les conseils d'administration de nos institutions les plus respectées qui ont ensuite été impliqués dans des opérations d'ingérence étrangère et sanctionnés a déclaré Ferencz dont le financement public a résisté à deux ans de pandémie mondiale à une époque de montée de l'antisémitisme, du négationnisme et de la violence d'extrême droite. Mais lorsque l'argent est acheminé par des moyens douteux par un homme lié au Kremlin - impliqué dans l'incitation à la violence d'extrême droite, antisémite et extrémiste - sa place sacrée en tant que vecteur de la mémoire de l'Holocauste et centre d'apprentissage international sur le génocide exige une éthique supérieure. barre, pas inférieure. "Ces entreprises ont du sang sur les mains", a déclaré Altman à propos des industriels allemands qui ont donné à Hitler les matières premières dont il avait besoin pour tuer des millions de personnes. "Et aucun montant de réparations ne peut l'effacer." Ou comme Ferencz l'a écrit dans la préface de son livre, Moins que des esclaves, à propos de ses efforts pour obtenir une indemnisation pour les survivants de l'Holocauste réduits en esclavage par IG Farben, Krupp, AEG, Rheinmetall et Daimler-Benz, "le terme allemand désignant les divers programmes de restitution, réparation, signifie littéralement "rendre bon à nouveau". Mais c'était une 'Mission Impossible' puisque les torts qu'on cherchait à réparer ne peuvent plus jamais être réparés. J'ai pensé aux paroles de Ferencz et Altman lorsque le président Joe Biden a annoncé des sanctions la semaine dernière, et que le monde s'est mobilisé pour les appliquer, isolant Poutine et les entreprises russes au point où le rouble a perdu sa valeur. La nouvelle d'aujourd'hui des sanctions britanniques contre Abramovich et six autres, couplée à la récente interdiction américaine du pétrole russe, m'a encore remonté le moral. Si seulement le monde avait répondu à Hitler de la même manière. https://www.thedailybeast.com/no-amount-of-charity-is-worth-defending-putins-oligarchs?source=articles&via=rss No Amount of Charity Is Worth Defending Putin’s OligarchsCet article est traduit automatiquement depuis la langue d'origine vers votre langue. N'hésitez pas à nous signaler s'il contient des erreurs de traduction afin que nous recherchions les corriger dans les plus brefs délais.

Aucune charité ne vaut la peine de défendre les oligarques...