Clint Eastwood remonte en selle pour le chant du coq


discute avec un coq de combat, est souriant et apaisé. Mineur, « Cry Macho » émeut tranquillement.

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Publié le 9/11/2021 à 17 :00

Temps de lecture : 3 min

Clint Eastwood est le dernier géant de l’âge d’or du cinéma hollywoodien. Gardien de l’esprit classique transposé à son époque, toujours debout et qui vieillit sans artifice. Un nouveau film de lui est donc à chaque fois un événement. Entre Un frisson dans la nuit, son premier film comme réalisateur, et Cry Macho, on comptabilise trente-neuf réalisations, vingt-quatre où il est à la fois devant et derrière la caméra. Avec un cahier des charges précis, à savoir que la réussite d’un film tient à 50 % par le scénario, 40 % par le casting et 10 % de risque de se planter. Clint a fait les films qu’il veut. En 2021 comme en 1971. Avec un rythme de croisière et un enthousiasme qui force l’admiration. Pourquoi y va-t-il encore ? Tout simplement, parce qu’il est amoureux fou du cinéma. Au Los Angeles Times qui l’interrogeait en septembre sur son âge, il a répondu  : « 

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