Cela faisait trois jours que les sept membres de la famille, qui vivent dans une mansarde à Santa Luzia, près de Belo Horizonte (Sud-Est), ne se nourrissaient que de farine de maïs diluée dans l’eau.
Le Brésil ému
pensant qu’il s’agissait d’un cas de négligence familiale une partie payée de leur poche et l’autre offerte par le gérant du commercestrong class= »strong » le drame de la famille Barros a ému tout le Brésil et les dons ont commencé à affluer ouvrant une armoire bien remplie.
« La faim fait tellement mal »
strong class= »strong »>Comte-Sponville : « On meurt plus vite de faim que de maladie »Pour la première fois depuis 2014, le Brésil a refait cette année son apparition sur la « Carte de la faim dans le monde » de l’ONU, avec 28,9 % de la population vivant dans un état d’« insécurité alimentaire » modérée ou sévère. Des images montrant des personnes affamées qui se disputent des os dans des bennes à ordures se répandent de plus en plus sur les réseaux sociaux.
Dans ce contexte désolant, Célia est fière de pouvoir à son tour aider des voisins dans le besoin à remplir leurs réfrigérateurs. « On a reçu tellement de dons que maintenant, moi qui n’avais rien, je peux venir en aide aux autres », confie-t-elle.
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